«Aujourd’hui quand il y a une prestation, il faut envoyer la facture à un certain moment», a déclaré Bocar Mamadou Daff, qui se prononçait sur les lenteurs de paiement de la dette due aux structures sanitaires par l’agence qu’il dirige.
M. Daff d’expliquer qu’environ 30% des structures de santé au Sénégal n’ont pas encore envoyé les dossiers sur lesquels doivent se baser les autorités pour décaisser l’argent. Et, ajoute-t-il, «généralement, ce sont ces structures-là qui se plaignent».
Mais ce facteur ne constitue qu’un premier obstacle au décaissement de l’argent. Car, révèle M. Daff, des fraudes sont aussi notées dans l’émission des dossiers : «quand on met en œuvre un système de financement l’année, généralement, il y a beaucoup de fraudes, de surconsommations, beaucoup d’abus, beaucoup de personnes qui sont inéligibles qui essaient d’en bénéficier».
Ce qui implique qu’avant de payer, des vérifications doivent être nécessairement effectuées pour voir s’il y a conformité entre les dossiers présentés et la somme effectivement due.
M. Daff d’expliquer qu’environ 30% des structures de santé au Sénégal n’ont pas encore envoyé les dossiers sur lesquels doivent se baser les autorités pour décaisser l’argent. Et, ajoute-t-il, «généralement, ce sont ces structures-là qui se plaignent».
Mais ce facteur ne constitue qu’un premier obstacle au décaissement de l’argent. Car, révèle M. Daff, des fraudes sont aussi notées dans l’émission des dossiers : «quand on met en œuvre un système de financement l’année, généralement, il y a beaucoup de fraudes, de surconsommations, beaucoup d’abus, beaucoup de personnes qui sont inéligibles qui essaient d’en bénéficier».
Ce qui implique qu’avant de payer, des vérifications doivent être nécessairement effectuées pour voir s’il y a conformité entre les dossiers présentés et la somme effectivement due.