Invité à l’émission Jury du Dimanche, le Secrétaire général du Conseil national du patronat, Hamidou Diop, interpellé sur la question de la dette fiscale a magnifié l’attitude et la politique souverainiste du nouveau régime.
Toutefois, il alerte les autorités sur les conséquences dramatiques du régime fiscal punitif. A en croire ses propos, la politique fiscale dissuasive à l’investissement privé n’est pas une bonne chose pour nos Etats qui sont dans une logique d’émergence afin de résoudre le problème du chômage des jeunes. « Concernant notre système fiscal, il faut que l’on évite d’avoir une fiscalité punitive et dissuasive à l’investissement privé », a -t-il souligné.
Par ailleurs, Hamidou Diop dit comprendre la démarche de l’administration qui cherche à arbitrer et à équilibrer le budget. Par contre, selon lui, aucune administration n’a intérêt à tuer les entreprises parce que « les impôts et les douanes sont les premiers actionnaires de l’entreprise. Donc, aucune administration n’a intérêt à tuer les entreprises. Si vous tuez les entreprises, c’est des revenus en moins ».
Toutefois, il alerte les autorités sur les conséquences dramatiques du régime fiscal punitif. A en croire ses propos, la politique fiscale dissuasive à l’investissement privé n’est pas une bonne chose pour nos Etats qui sont dans une logique d’émergence afin de résoudre le problème du chômage des jeunes. « Concernant notre système fiscal, il faut que l’on évite d’avoir une fiscalité punitive et dissuasive à l’investissement privé », a -t-il souligné.
Par ailleurs, Hamidou Diop dit comprendre la démarche de l’administration qui cherche à arbitrer et à équilibrer le budget. Par contre, selon lui, aucune administration n’a intérêt à tuer les entreprises parce que « les impôts et les douanes sont les premiers actionnaires de l’entreprise. Donc, aucune administration n’a intérêt à tuer les entreprises. Si vous tuez les entreprises, c’est des revenus en moins ».