Le comité d’organisation du folk festival international (Folkfi) a rendu public un communiqué annonçant la tenue de la 2éme édition de cette rencontre. Elle est prévue du 5 au 6 novembre prochain au centre international du commerce extérieur du Sénégal (Cices).
Cet événement tenu pour la première fois au Sénégal en 2008 avait connu selon les organisateurs « un éclatant succès ». Initiative de « Yaatal » production, label du duo Pape et Cheikh, ainsi que de Baobab communication, cette deuxième édition est placée sous le thème de l’unité africaine. « Au rythme des Etats Unis d’Afrique », tel est d’ailleurs le libellé de ce thème. Les initiateurs comptent à travers ce dernier « permettre aux artistes, acteurs culturel et au public d’être davantage au cœur des enjeux de la Renaissance africaine et des Etats Unis d’Afrique ». Par ailleurs, le choix de ce thème répond aux besoins de l’actualité au moment où la plupart des pays africains fêtent le cinquantenaire de leur accès à l’indépendance. Encore que ce festival se veut « une dynamique permanente pour le rayonnement des arts et de la culture en Afrique et à travers le monde, pour le rapprochement des peuples », selon le communiqué.
Plus d’une vingtaine de groupes musicaux du Sénégal avaient pris part à la première édition aux côtés de formations venues du Congo-Brazza, du Cap-Vert, de la Gambie, de la Guinée, du Sénégal et de la France. Et cette année en plus de ces pays sont attendus à Dakar, la Gambie, la Mauritanie, le Burkina Faso, le Mali, l’Angola, le Djibouti et les Etats-Unis d’Amérique.
Le folk festival international abritera en plus des habituelles prestations musicales et poétiques le marché des produits musicaux et dérivés (Maprom).
Cet événement tenu pour la première fois au Sénégal en 2008 avait connu selon les organisateurs « un éclatant succès ». Initiative de « Yaatal » production, label du duo Pape et Cheikh, ainsi que de Baobab communication, cette deuxième édition est placée sous le thème de l’unité africaine. « Au rythme des Etats Unis d’Afrique », tel est d’ailleurs le libellé de ce thème. Les initiateurs comptent à travers ce dernier « permettre aux artistes, acteurs culturel et au public d’être davantage au cœur des enjeux de la Renaissance africaine et des Etats Unis d’Afrique ». Par ailleurs, le choix de ce thème répond aux besoins de l’actualité au moment où la plupart des pays africains fêtent le cinquantenaire de leur accès à l’indépendance. Encore que ce festival se veut « une dynamique permanente pour le rayonnement des arts et de la culture en Afrique et à travers le monde, pour le rapprochement des peuples », selon le communiqué.
Plus d’une vingtaine de groupes musicaux du Sénégal avaient pris part à la première édition aux côtés de formations venues du Congo-Brazza, du Cap-Vert, de la Gambie, de la Guinée, du Sénégal et de la France. Et cette année en plus de ces pays sont attendus à Dakar, la Gambie, la Mauritanie, le Burkina Faso, le Mali, l’Angola, le Djibouti et les Etats-Unis d’Amérique.
Le folk festival international abritera en plus des habituelles prestations musicales et poétiques le marché des produits musicaux et dérivés (Maprom).