Il souligne qu’ « il convient de prendre des mesures pratiques, pour résoudre, progressivement, les problèmes qui sévissent dans cette filière et qui constituent, incontestablement, des obstacles au développement de l’économie arachidiére au Sénégal ».
Sur le plan des prix, il propose « de porter, à partir de 2011-2012, pour la prochaine campagne de production et de commercialisation de l’arachide, à 25 francs la subvention de l’Etat par kilo d’arachide, au lieu des 15 francs actuels ».
La conséquence de cette augmentation de 10 francs cfa par kilo d’arachide, sera, « au lieu des 15 francs actuels, le prix au producteur sera de 175 francs le kilo et dès le mois de mai 2012, cette mesure devra être confirmée et portée à la connaissance des paysans. Une telle mesure encouragera les producteurs et leur donnera une garantie certaine que leur effort sera justement récompensé, d’autant que le prix actuel de 165 francs le kilo d’arachide est le même depuis plus d’une décennie alors que les produits de consommation courante, durant la même période, ont connu une augmentation très sensible ».
Relativement au démarrage de la campagne, « il convient de faire démarrer, impérativement, la campagne de commercialisation, dès le mois de novembre 2011, et chaque année par la suite, en aidant les huiliers à trouver les financements off/shore nécessaires, dès le début du deuxième semestre de l’année, au plus tard au mois de juillet ».
Le souci de Moustapha Niasse ici est de « permettre aux paysans d’éviter l’intermédiation de spéculateurs qui achètent, présentement, à l’occasion des marchés hebdomadaires, les graines d’arachide à 120 ou 130 francs cfa le kilo, ce qui occasionne d’importantes pertes de recettes aux paysans et enrichit, indûment, ces mêmes spéculateurs et intermédiaires ».
De même il propose « de mettre en place un mécanisme cohérent et sécurisé par l’Etat, pour assurer à ces huiliers un accès normal aux financements requis pour la modernisation des équipements des unités industrielles du secteur ».
Sur le plan des prix, il propose « de porter, à partir de 2011-2012, pour la prochaine campagne de production et de commercialisation de l’arachide, à 25 francs la subvention de l’Etat par kilo d’arachide, au lieu des 15 francs actuels ».
La conséquence de cette augmentation de 10 francs cfa par kilo d’arachide, sera, « au lieu des 15 francs actuels, le prix au producteur sera de 175 francs le kilo et dès le mois de mai 2012, cette mesure devra être confirmée et portée à la connaissance des paysans. Une telle mesure encouragera les producteurs et leur donnera une garantie certaine que leur effort sera justement récompensé, d’autant que le prix actuel de 165 francs le kilo d’arachide est le même depuis plus d’une décennie alors que les produits de consommation courante, durant la même période, ont connu une augmentation très sensible ».
Relativement au démarrage de la campagne, « il convient de faire démarrer, impérativement, la campagne de commercialisation, dès le mois de novembre 2011, et chaque année par la suite, en aidant les huiliers à trouver les financements off/shore nécessaires, dès le début du deuxième semestre de l’année, au plus tard au mois de juillet ».
Le souci de Moustapha Niasse ici est de « permettre aux paysans d’éviter l’intermédiation de spéculateurs qui achètent, présentement, à l’occasion des marchés hebdomadaires, les graines d’arachide à 120 ou 130 francs cfa le kilo, ce qui occasionne d’importantes pertes de recettes aux paysans et enrichit, indûment, ces mêmes spéculateurs et intermédiaires ».
De même il propose « de mettre en place un mécanisme cohérent et sécurisé par l’Etat, pour assurer à ces huiliers un accès normal aux financements requis pour la modernisation des équipements des unités industrielles du secteur ».
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