
Sur le débat autour de la dévolution monarchique du pouvoir, le magistrat Ousmane Camara considère que ce n’est là qu’un mot et citant un ancien Premier ministre britannique, il rappelle qu’on dirige les hommes avec les mots. Mieux pour le magistrat « nous sommes tous fils ou fille de quelqu’un et la carte électorale est le meilleur moyen d’expression ».
Répondant à la question du présentateur de l’émission Grand jury sur une comparaison Sénégal/ Togo, Ousmane Camara répond que nous sommes comme tout le monde, n’importe quoi peut se’ passer ici comme ailleurs, nous devons rester modestes et humbles. Avant d’ajouter que nous devons travailler pour faire triompher la démocratie.
Sur les contestations de Me Wade en 1988, le magistrat Ousmane Camara, ancien Président de la Cour Suprême réaffirme que Diouf avait gagné même s’il reconnaît qu’il était difficile de contrôler toute la chaîne électorale.
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