Face à la presse, ce matin, au centre diabétique, le Professeur Seydou Nourou Diop a informé que : « Depuis quelques années le diabète prend de plus en plus d’empleur dans le monde. Déjà la présentation de centre de diabète a attiré l’attention il y a déjà une vingtaine d’années sur le fait que le diabète augmente de façon exponentielle dans le monde. Si on regarde les statistiques au début des années 80, on sent qu’il y a 95 à 100 millions de cas dans le monde. A partir de 2007, ils sont à 246 millions. Aujourd’hui, à l’heure où je vous parle, ils sont 242 millions connus de diabétiques. L’Afrique n’est pas en reste. Elle compte présentement 13 à 14 millions de diabétiques alors que 10 ans au paravant ils n’étaient pas 8 millions de diabétiques. Aujourd’hui le nombre de cas de diabétiques a presque doublé en l’espace de 10 ans ».
A en croire le Dg du Centre Diabétique Marc Sankale, « les projections qui ont été faites, en 2040, si rien n’est fait, de 14 millions nous partirons à 105 millions de diabétiques. Cela veut dire, presque un triplement de cas de diabétiques en Afrique seulement ».
Selon le professeur, « les centres diabétiques c’est de traiter les cas de diabète, mais aussi les préventions Sans prévention, il est illusoire de lutter contre cette maladie, il faut arriver avant la maladie. Et des expériences dans des grands pays comme la Chine, ont montré qu’avec une bonne prévention qu’on pouvait éviter 50 à 60% de cas de diabètes. Donc le Sénégal a très vite commencé cela mais ce n’est pas suffisant. Par ce qu’un seul centre ça pose des problèmes, c’est pourquoi en 2000 nous avons commencé à former les personnels de différentes structures de santé. Nous pensons que c’est au niveau du district sanitaire que la plaque tournante de la prise en charge doit se faire. Aujourd’hui qu’ils soient médecins, infirmiers, ou sages femmes, ils ont été formés dans la prise en charge de la maladie. Les diabétiques ne doivent plus quitter Saint Louis, Tambacounda pour être prise en charge ».
Le Docteur Maïmouna Ndour Mbaye est revenu sur le programme Diabète, qui selon elle, « est un programme qui fait partie d’un programme mondiale qui est une initiative de l’organisation mondiale de la santé et de l’Union internationale des télécommunications. Il consiste à utiliser le téléphone mobile, pour véhiculer des messages de santé. Un programme mis en place au Sénégal en 2007».
A en croire le Dg du Centre Diabétique Marc Sankale, « les projections qui ont été faites, en 2040, si rien n’est fait, de 14 millions nous partirons à 105 millions de diabétiques. Cela veut dire, presque un triplement de cas de diabétiques en Afrique seulement ».
Selon le professeur, « les centres diabétiques c’est de traiter les cas de diabète, mais aussi les préventions Sans prévention, il est illusoire de lutter contre cette maladie, il faut arriver avant la maladie. Et des expériences dans des grands pays comme la Chine, ont montré qu’avec une bonne prévention qu’on pouvait éviter 50 à 60% de cas de diabètes. Donc le Sénégal a très vite commencé cela mais ce n’est pas suffisant. Par ce qu’un seul centre ça pose des problèmes, c’est pourquoi en 2000 nous avons commencé à former les personnels de différentes structures de santé. Nous pensons que c’est au niveau du district sanitaire que la plaque tournante de la prise en charge doit se faire. Aujourd’hui qu’ils soient médecins, infirmiers, ou sages femmes, ils ont été formés dans la prise en charge de la maladie. Les diabétiques ne doivent plus quitter Saint Louis, Tambacounda pour être prise en charge ».
Le Docteur Maïmouna Ndour Mbaye est revenu sur le programme Diabète, qui selon elle, « est un programme qui fait partie d’un programme mondiale qui est une initiative de l’organisation mondiale de la santé et de l’Union internationale des télécommunications. Il consiste à utiliser le téléphone mobile, pour véhiculer des messages de santé. Un programme mis en place au Sénégal en 2007».