Abdou Karim Fofana estime que : « C'est un échec pour ceux qui ne sont pas venus. Quand on est dans la perspective constructive d'une démocratie, il ne faut pas avoir peur de venir dire ce que l'on pense. Si on n’est pas d'accord, on vient le dire ».
« Je pense que l'opposition a fait une erreur majeure en ne participant pas au dialogue. Parce que c'était le cadre où il fallait dire pourquoi le 2 avril, pourquoi le 5 mai, pourquoi le 2 juin ou le 3 juillet. Mais si on fuit cette décision puis après qu'on essaie d'imposer des manifestations pour chercher la violence, ça c'est irresponsable », a fait savoir le ministre du commerce, de la consommation et des petites et moyennes entreprises.
Pour le porte -parole du gouvernement : « Il ne faudrait pas que l'opposition se prenne pour la majorité. Nous sommes dans une situation tendue, mais il y a des règles. Lorsqu’on n’est pas d'accord sur les dates, on en parle. Mais l'opposition ne peut pas imposer son point de vue. Même la majorité n'impose pas son point de vue ».
Le 26 et le 27 février dernier, 17 des 19 candidats recalés et la quasi-totalité des partis de l'opposition ont refusé de prendre part au dialogue national organisé pour fixer la date de la Présidentielle.
« Je pense que l'opposition a fait une erreur majeure en ne participant pas au dialogue. Parce que c'était le cadre où il fallait dire pourquoi le 2 avril, pourquoi le 5 mai, pourquoi le 2 juin ou le 3 juillet. Mais si on fuit cette décision puis après qu'on essaie d'imposer des manifestations pour chercher la violence, ça c'est irresponsable », a fait savoir le ministre du commerce, de la consommation et des petites et moyennes entreprises.
Pour le porte -parole du gouvernement : « Il ne faudrait pas que l'opposition se prenne pour la majorité. Nous sommes dans une situation tendue, mais il y a des règles. Lorsqu’on n’est pas d'accord sur les dates, on en parle. Mais l'opposition ne peut pas imposer son point de vue. Même la majorité n'impose pas son point de vue ».
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