Aujourd’hui encore, l’on fait croire au peuple que la seule porte de sortie créée et entretenue par les politiques : c’est le rendez-vous de Diamniadio (lieu où se tient le dialogue national pour 48 heures). On fait encore croire au peuple que des gens ayant des intentions inavouées refusent de dialoguer. On fait encore croire au peuple qu’il faut reprendre tout le processus électoral pour permettre à des candidats spoliés d’y participer. Et enfin, on fait encore croie au peuple qu’il y a un camp d’en face truffé de pyromanes. Et que ces derniers sont prêts à mettre le feu dans le pays.
La manipulation est à son comble comme jamais dans ce pays. Les médias sont devenus « des caisses de résonnance », sous le joug des politiques enclins à la manipulation. Les éditions d’information se multiplient, à longueur de journée. Et les populations semblent égarées ne sachant plus à quel Saint se vouer.
Dans son livre, « l’obsolescence de l’homme », le philosophe allemand Günter Anders parlait de la manipulation des masses. D’après lui, « pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente, les méthodes archaïques comme celle d’Hitler sont complètement dépassés. Il suffit juste de créer un Conditionnement en réduisant considérablement le niveau et la qualité de l’éducation ». C’est à ce tournant où l’on est dans ce pays. Sinon comment comprendre que la plus ancienne et l’une des plus prestigieuses des universités du Sénégal (UCAD) soit fermée pour des mois. Au motif que l’insécurité fait défaillance dans ce temple du savoir et que le moment n’était pas propice pour tenir des cours en présentiel.
« Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensées limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations matérielles, médiocres, Moins il peut se révolter » a ajouté Günter Anders.
Plus encore soutient, le philosophe allemand,
« Il faut faire en sorte que l’accès au « savoir » devienne de plus en plus difficile…Et que le fossé se creuse entre « le peuple » et la « science «.Que l’information destinée au grand public soit « Anesthésiée ». Encore une fois, c’est à ce tournant où se trouve le Sénégal. Les faits le disent.
A Diamniado s’est déjà installé un dialogue des sourds. La concertation a, dorénavant, pris du plomb dans l’aile. Seize sur dix-neuf candidats ont catégoriquement refusé de prendre part à ces concertations. L’on se dirige vers un goulet d’étranglement. Encore une fois, le peuple écarquille les yeux ne comprenant rien de ce qui est en train d’être joué sur son dos.
La manipulation est à son comble comme jamais dans ce pays. Les médias sont devenus « des caisses de résonnance », sous le joug des politiques enclins à la manipulation. Les éditions d’information se multiplient, à longueur de journée. Et les populations semblent égarées ne sachant plus à quel Saint se vouer.
Dans son livre, « l’obsolescence de l’homme », le philosophe allemand Günter Anders parlait de la manipulation des masses. D’après lui, « pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente, les méthodes archaïques comme celle d’Hitler sont complètement dépassés. Il suffit juste de créer un Conditionnement en réduisant considérablement le niveau et la qualité de l’éducation ». C’est à ce tournant où l’on est dans ce pays. Sinon comment comprendre que la plus ancienne et l’une des plus prestigieuses des universités du Sénégal (UCAD) soit fermée pour des mois. Au motif que l’insécurité fait défaillance dans ce temple du savoir et que le moment n’était pas propice pour tenir des cours en présentiel.
« Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensées limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations matérielles, médiocres, Moins il peut se révolter » a ajouté Günter Anders.
Plus encore soutient, le philosophe allemand,
« Il faut faire en sorte que l’accès au « savoir » devienne de plus en plus difficile…Et que le fossé se creuse entre « le peuple » et la « science «.Que l’information destinée au grand public soit « Anesthésiée ». Encore une fois, c’est à ce tournant où se trouve le Sénégal. Les faits le disent.
A Diamniado s’est déjà installé un dialogue des sourds. La concertation a, dorénavant, pris du plomb dans l’aile. Seize sur dix-neuf candidats ont catégoriquement refusé de prendre part à ces concertations. L’on se dirige vers un goulet d’étranglement. Encore une fois, le peuple écarquille les yeux ne comprenant rien de ce qui est en train d’être joué sur son dos.
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