Le Secrétaire général de l'AFP, Moustapha Niasse
Moustapha Niasse n’a même pas fait allusion à la lettre incendiaire du chef de l’Etat, Abdoulaye Wade. Le secrétaire général de l’Alliance des Forces de Progrès (AFP) a estimé que le dialogue politique ne doit pas simplement concerné les questions politiques. Pour lui, «un dialogue politique ne peut, en aucun cas, être limité à des questions politiques, lorsqu’un pays, comme le Sénégal, se trouve confronté à une situation de complexité et de gravité qui déstabilise le fonctionnement des Institutions, désorganise les équilibres économiques et sociaux, met en cause les acquis réalisés par le peuple pendant plusieurs décennies et assombrit l’horizon des perspectives de développement devant répondre aux attentes légitimes des citoyens».
Il a, lors de la cérémonie d’ouverture du séminaire du Mouvement National des Femmes Progressistes, indiqué que «le dialogue auquel appelle Me Abdoulaye Wade devra, inévitablement, s’il doit avoir lieu, concerner l’ensemble des domaines requis, avec sérénité, par les urgences du moment».
Moustapha Niasse a souligné que «les tenants du pouvoir tentent, désespérément, de créer une passerelle – en guise d’échappatoire – entre leur vision du dialogue proposé par Me Abdoulaye Wade et les conclusions des Assises Nationales». Ils tentent, ainsi selon lui, de jeter un voile sur les Assises Nationales auxquelles, délibérément, ils ont refusé de participer, après avoir utilisé «menaces, intimidations et chantage, en dehors de tout respect des principes républicains et des règles de la morale publique».
Le Mouvement National des Femmes Progressistes a organisé cet atelier de formation en faveur des élus locaux. Pour leur leader, «cette session de formation que vous organisez en faveur des membres de votre bureau national et des Femmes élues locales ont été élaborés avec soin et qu’ils intègrent de multiples données embrassant de nombreuses questions prioritaires concernant la compréhension et l’application des lois portant sur la décentralisation, sur les compétences transférées, sur l’étendue et les limites des pouvoirs d’accompagnement et contrôle dévolues aux autorités locales comme les Gouverneurs, les Préfets et sous-Préfets».
Il a, lors de la cérémonie d’ouverture du séminaire du Mouvement National des Femmes Progressistes, indiqué que «le dialogue auquel appelle Me Abdoulaye Wade devra, inévitablement, s’il doit avoir lieu, concerner l’ensemble des domaines requis, avec sérénité, par les urgences du moment».
Moustapha Niasse a souligné que «les tenants du pouvoir tentent, désespérément, de créer une passerelle – en guise d’échappatoire – entre leur vision du dialogue proposé par Me Abdoulaye Wade et les conclusions des Assises Nationales». Ils tentent, ainsi selon lui, de jeter un voile sur les Assises Nationales auxquelles, délibérément, ils ont refusé de participer, après avoir utilisé «menaces, intimidations et chantage, en dehors de tout respect des principes républicains et des règles de la morale publique».
Le Mouvement National des Femmes Progressistes a organisé cet atelier de formation en faveur des élus locaux. Pour leur leader, «cette session de formation que vous organisez en faveur des membres de votre bureau national et des Femmes élues locales ont été élaborés avec soin et qu’ils intègrent de multiples données embrassant de nombreuses questions prioritaires concernant la compréhension et l’application des lois portant sur la décentralisation, sur les compétences transférées, sur l’étendue et les limites des pouvoirs d’accompagnement et contrôle dévolues aux autorités locales comme les Gouverneurs, les Préfets et sous-Préfets».
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