Qu’on se le dise : Diam’s s’est convertie à l’islam par choix personnel. La rappeuse n’a subi aucune pression extérieure et n’est pas devenue musulmane pour son mari. Une idée reçue que Diam’s combat dans son autobiographie, qui sort aujourd’hui en libraires. A cette occasion, la chanteuse fait la tournée des médias et, avant son interview dimanche dans "Sept à Huit" sur TF1, elle s’est confiée ce matin sur RTL.
Au micro de RTL, Diams affirme d’emblée qu’elle a "toujours été croyante" mais ne trouvait pas son compte dans le christianisme, la religion qui a bercé son enfance. "Il y avait beaucoup de flou, ce n'était pas clair pour beaucoup de choses", explique-t-elle. Et une conversion à l’islam est quelque chose à laquelle Diam’s réfléchissait depuis longtemps. "Ce n'est pas parce que j'allais mal à ce moment-là (que je me suis convertis), c'était depuis que j'étais toute petite. Je n'étais pas bien, il me manquait quelque chose je le sentais, c'était très fort", affirme la jeune maman de 32 ans, qui explique que tout est parti d’une lecture de Coran qui a "bouleversé (sa) vie". "Ca me ramenait à toutes ces questions que je me posais (...) ce n'était pas sur un coup de tête", raconte-t-elle.
"La foi m'habite, elle est dans mon cœur"
Interrogée sur l’avalanche médiatique qui a suivi sa conversion en 2009, Diam’s explique avoir été blessée. « On a dit que j'étais endoctrinée, que j'étais un danger. Je ne souhaitais pas afficher ma foi sur la place publique et j'ai été profondément touchée par ce que (les médias) en ont fait », raconte-t-elle. « La foi m'habite, elle est dans mon cœur (…) et ça n'engage que moi ».
S’exprimant ensuite sur la place de l’islam en France, Diam’s déplore le fait qu’on a trop souvent tendance à "faire passer la femme convertie à l'Islam pour quelqu'un qui n'a aucune autonomie intellectuelle". "Les gens n'ont-ils pas conscience qu'une femme qui porte le voile en France a forcément un caractère parce que ce n'est quand même pas facile dans notre pays", assure-t-elle.
Closer.fr
Au micro de RTL, Diams affirme d’emblée qu’elle a "toujours été croyante" mais ne trouvait pas son compte dans le christianisme, la religion qui a bercé son enfance. "Il y avait beaucoup de flou, ce n'était pas clair pour beaucoup de choses", explique-t-elle. Et une conversion à l’islam est quelque chose à laquelle Diam’s réfléchissait depuis longtemps. "Ce n'est pas parce que j'allais mal à ce moment-là (que je me suis convertis), c'était depuis que j'étais toute petite. Je n'étais pas bien, il me manquait quelque chose je le sentais, c'était très fort", affirme la jeune maman de 32 ans, qui explique que tout est parti d’une lecture de Coran qui a "bouleversé (sa) vie". "Ca me ramenait à toutes ces questions que je me posais (...) ce n'était pas sur un coup de tête", raconte-t-elle.
"La foi m'habite, elle est dans mon cœur"
Interrogée sur l’avalanche médiatique qui a suivi sa conversion en 2009, Diam’s explique avoir été blessée. « On a dit que j'étais endoctrinée, que j'étais un danger. Je ne souhaitais pas afficher ma foi sur la place publique et j'ai été profondément touchée par ce que (les médias) en ont fait », raconte-t-elle. « La foi m'habite, elle est dans mon cœur (…) et ça n'engage que moi ».
S’exprimant ensuite sur la place de l’islam en France, Diam’s déplore le fait qu’on a trop souvent tendance à "faire passer la femme convertie à l'Islam pour quelqu'un qui n'a aucune autonomie intellectuelle". "Les gens n'ont-ils pas conscience qu'une femme qui porte le voile en France a forcément un caractère parce que ce n'est quand même pas facile dans notre pays", assure-t-elle.
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