S’il y’a un sujet sur lequel, sociologues et politistes doivent s’interroger au Sénégal pour éventuellement apporter des réponses aux maux, qui tenaillent le rayonnement du pays dans tous les domaines. Ils doivent de façon triviale, s’intéresser sur le comportement malotru des hommes politiques sénégalais vis-à-vis à leurs concitoyens. J’ai bien dit le comportement indiscipliné et ignominieux surtout de ceux qui dirigent et ceux qui tentent de convaincre les sénégalais afin d’accéder au pouvoir. Pourquoi les politiciens sénégalais sont aussi « dirty » entre eux d’abord, et à l’égard des sénégalais qu’ils sollicitent inéluctablement pour la concrétisation de leur rêve ? A ce sénégalais ordinaire, détenteur de sa carte d’électeur, n’est-il pas temps d’ouvrir les yeux sur le ou les choix des hommes qu’on mandate pour nous représenter où nous administrer ?
Si de telles interrogations sont soulevées de façon aussi trash, c’est à cause d’agissements et de grivoiseries à la limite préjudiciable à la vue et de l’entendement. Au nom d’un principe purement royaliste et d’un esprit étriqué, la classe politique sénégalaise s’est faite une fausse idée de la politique entraînant des conséquences dramatiques dans la société sénégalaise. Comment peut-on comprendre de jeunes politicards dépourvus de toute pédagogie , parachutés brusquement dans le quotidien des sénégalais se permettent d’incommoder les sénégalais par des discours empreints d’invectives et de violences à l’égard de toute personne apportant la contradiction aux politiques menées par leur mentor ? Une certaine jeunesse qui priorise « la chose politique » comme le meilleur ascenseur social au détriment des études, de la recherche du savoir et de l’imprégnation même de ce qu’il considère comme métier : Ecouter un Abdou Mbow vice-président de l’Assemblé Nationale qui ressuscite et guillotine Molière nuit et jour. Chaque sortie médiatique faite en français offusque les adeptes de la langue française.
Que dire les énormités répétitives de Moustapha Cissé Lo et de Moustapha Diakhaté, qui en deux ans ont dévalué toute la représentation nationale à cause des postures rétives sur des sujets concernant moins les sénégalais. Pourquoi les sénégalais acceptent dans une démocratie aussi mature que civilisée, que les nuls, les vulgaires et les incompétents passent devant ceux qui ont du mérite, d’occuper des stations qui portent la signature de l’éducation, la culture et les coutumes du pays ? L’indiscipline de la classe politique sénégalaise se manifeste plus loin encore à l’encontre de leurs sympathisants et de leurs militants. Le fonctionnement des partis politiques est aussi mystérieux que l’opacité des décisions souvent prises par un duo ou un triumvir qui procèdent à des compromis ou des compromissions afin de sauvegarder l’intérêt d’un clan au détriment de la ligne idéologique du parti ou de la conviction des militants. Qui aurait cru qu’en 2014 le Parti Socialiste sénégalais, le parti qui a germé tous les autres partis du Sénégal de par son parcours historique puisse conspirer sur le dos des militants qui éprouvaient profondément un changement à la tête du parti, voient leur souhait avorté par un clan aux ordres d’un leader de plus en plus contesté et détesté ?
Tant que l’aspiration des militants et plus général n’est pas recentrée ou reconsidérée voire priorisée par les « soi-disant professionnels de la politique », la mission politique qu’ils assignent fondamentalement devient un leurre. L’indiscipline de cette classe politique opportuniste est mise en exergue par les médias qui à la recherche d’éclats se permettent d’inviter n’importe quel « aventurier », revendiquant son appartenance à un clan essaye de s’illustrer lamentablement, dans le dessein de bénéficier une promotion accélérée par la vulgarité de l’attaque à l’endroit de l’opposant. Le débat d’idées n’existe plus chez les hommes politiques de tout bord, l’orientation économique, sociale, environnementale est systématiquement absent dans leurs discours. Les attaques injurieuses sont symptomatiques d’une classe politique inculte, mal inspirée, désorganisée structurellement et idéologiquement.
Si de telles interrogations sont soulevées de façon aussi trash, c’est à cause d’agissements et de grivoiseries à la limite préjudiciable à la vue et de l’entendement. Au nom d’un principe purement royaliste et d’un esprit étriqué, la classe politique sénégalaise s’est faite une fausse idée de la politique entraînant des conséquences dramatiques dans la société sénégalaise. Comment peut-on comprendre de jeunes politicards dépourvus de toute pédagogie , parachutés brusquement dans le quotidien des sénégalais se permettent d’incommoder les sénégalais par des discours empreints d’invectives et de violences à l’égard de toute personne apportant la contradiction aux politiques menées par leur mentor ? Une certaine jeunesse qui priorise « la chose politique » comme le meilleur ascenseur social au détriment des études, de la recherche du savoir et de l’imprégnation même de ce qu’il considère comme métier : Ecouter un Abdou Mbow vice-président de l’Assemblé Nationale qui ressuscite et guillotine Molière nuit et jour. Chaque sortie médiatique faite en français offusque les adeptes de la langue française.
Que dire les énormités répétitives de Moustapha Cissé Lo et de Moustapha Diakhaté, qui en deux ans ont dévalué toute la représentation nationale à cause des postures rétives sur des sujets concernant moins les sénégalais. Pourquoi les sénégalais acceptent dans une démocratie aussi mature que civilisée, que les nuls, les vulgaires et les incompétents passent devant ceux qui ont du mérite, d’occuper des stations qui portent la signature de l’éducation, la culture et les coutumes du pays ? L’indiscipline de la classe politique sénégalaise se manifeste plus loin encore à l’encontre de leurs sympathisants et de leurs militants. Le fonctionnement des partis politiques est aussi mystérieux que l’opacité des décisions souvent prises par un duo ou un triumvir qui procèdent à des compromis ou des compromissions afin de sauvegarder l’intérêt d’un clan au détriment de la ligne idéologique du parti ou de la conviction des militants. Qui aurait cru qu’en 2014 le Parti Socialiste sénégalais, le parti qui a germé tous les autres partis du Sénégal de par son parcours historique puisse conspirer sur le dos des militants qui éprouvaient profondément un changement à la tête du parti, voient leur souhait avorté par un clan aux ordres d’un leader de plus en plus contesté et détesté ?
Tant que l’aspiration des militants et plus général n’est pas recentrée ou reconsidérée voire priorisée par les « soi-disant professionnels de la politique », la mission politique qu’ils assignent fondamentalement devient un leurre. L’indiscipline de cette classe politique opportuniste est mise en exergue par les médias qui à la recherche d’éclats se permettent d’inviter n’importe quel « aventurier », revendiquant son appartenance à un clan essaye de s’illustrer lamentablement, dans le dessein de bénéficier une promotion accélérée par la vulgarité de l’attaque à l’endroit de l’opposant. Le débat d’idées n’existe plus chez les hommes politiques de tout bord, l’orientation économique, sociale, environnementale est systématiquement absent dans leurs discours. Les attaques injurieuses sont symptomatiques d’une classe politique inculte, mal inspirée, désorganisée structurellement et idéologiquement.