La Commission «Orientations et Stratégies» vient par ce présent communiqué entretenir l’opinion, du contenu de la réunion de ses différents responsables, portant sur des sujets d’actualité tels que l’indépendance de la justice, le Haut conseil des collectivités territoriales, le foncier, la problématique des insuffisants rénaux, l’affaire Petrotim, entre autres questions sensibles et évoquées lors des débats.
Ainsi, la COS/M23 vient encore une fois exprimer toute son inquiétude «face à la proportion très démesurée de l’immixtion avérée de l’exécutif dans la gestion des dossiers judiciaires. A la suite de l’espoir suscité par la sortie des acteurs de l’Union des Magistrats du Sénégal et celle du SYTJUST, pour revendiquer le retrait des hommes politiques dans la marche de la justice sénégalaise, l’on se rend compte que ces pratiques rétrogrades, aux antipodes de la séparation et l’indépendance des pouvoirs reviennent de plus belle. Avec le cas Aida Diongue, les dossiers précédents, on constate avec les remous du « Dossier Berthélémy Diaz », que certains actes posés, ne sont guidés que pour appuyer un acharnement et des règlements de comptes politiques, une gestion politicienne de la justice, de la part de Monsieur Macky Sall et son pouvoir».
Par ailleurs, «nous soulignons le silence notoire des acteurs assermentés, garants d’un traitement objectif et équitable des différents dossiers soumis à leur autorité. Un silence qui par ricochet, porte atteinte à la crédibilité de ces derniers, compte tenu des errements notés à chaque fois qu’un « Dossier politique » est soulevé par le pouvoir en place », s’indignent Abdourahmane et Cie.
S’agissant de l’installation officielle du HCCT et de ses membres, la COS/M23 campe toujours sur ses positions, «pour dénoncer une dilapidation de nos maigre ressources, pour caser une clientèle politique, au détriment des urgences de l’heure».
Le président de la commission de signaler, dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, à l’opinion «que l’argent à hauteur de milliards qui sera utilisé pour le fonctionnement de cette institution budgétivore, pouvait bien servir à venir en aide aux insuffisants rénaux qui enregistre quatre mille (4000) nouveaux cas chaque année, dont six (6.000.000.000) auraient suffi pour régler définitivement leur prise en charge».
La COS/M23 estime que «le motif de la territorialisation des politiques publiques, ne passe pas devant d’autres priorités sociales au-delà des désagréments causés par la survenue de l’Acte trois de la décentralisation pour des raisons politiciennes».
Portant sur «le foncier dont la gestion nébuleuse et autoritaire a valu au Sénégalais beaucoup de litiges et de désarroi», la COS/M23, tire la sonnette d’alarme «sur le cas de l’affectation de mille (1000) hectares de terres à Dioukoul, département de Kébémer, attribués à la Société SENEGINDIA SARL, par le Conseil municipal de la localité. Acte posé sans la préalable consultation des populations locales, mais encore plus grave, en violation des dispositions de la loi».
La COS/M23 demande «à l’État du Sénégal, par ses autorités administratives de revenir sur cette décision illégale, et de faire respecter l’entièreté des dispositions retenues par la loi dans le cadre de cession matière foncière».
«Quant à l’affaire Petro Tim qui oppose l’homme d’affaires Frank TIMIS et le petit frère du Président de la République, Monsieur Alioune SALL d’une part et les membres du Front pour la défense du Sénégal/ Manko Wattu Sénégal d’autre part», la position de la COS/M23 est sans équivoque.
Elle exige «toute la lumière sur cette affaire qui à bien des égards, étale à suffisance des relents d’enrichissement illicite, de fraude fiscale, de conflits d’intérêts et de corruption, entre autres griefs à l’endroit de Messieurs TIMIS et SALL».
La COS/M23 réitère «son soutien sans faille à tous ces Sénégalais soucieux d’une gestion transparente et vertueuse de nos ressources, qu’elles soient naturelles ou financières, et encourage le front Manko Wattu Sénégal à aller au bout de sa logique en interpellant les juridictions compétentes à arbitrer ce contentieux et faire la lumière sur cette nébuleuse qui préoccupe plus d’un Sénégalais».
Par ailleurs, la COS/M23 manifeste «toute sa solidarité au front Manko quant à la tenue de sa marche, violemment réprimée par l’État du Sénégal, tout en appelant les membres à la solidarité et à l’union des forces…».
Ainsi, la COS/M23 vient encore une fois exprimer toute son inquiétude «face à la proportion très démesurée de l’immixtion avérée de l’exécutif dans la gestion des dossiers judiciaires. A la suite de l’espoir suscité par la sortie des acteurs de l’Union des Magistrats du Sénégal et celle du SYTJUST, pour revendiquer le retrait des hommes politiques dans la marche de la justice sénégalaise, l’on se rend compte que ces pratiques rétrogrades, aux antipodes de la séparation et l’indépendance des pouvoirs reviennent de plus belle. Avec le cas Aida Diongue, les dossiers précédents, on constate avec les remous du « Dossier Berthélémy Diaz », que certains actes posés, ne sont guidés que pour appuyer un acharnement et des règlements de comptes politiques, une gestion politicienne de la justice, de la part de Monsieur Macky Sall et son pouvoir».
Par ailleurs, «nous soulignons le silence notoire des acteurs assermentés, garants d’un traitement objectif et équitable des différents dossiers soumis à leur autorité. Un silence qui par ricochet, porte atteinte à la crédibilité de ces derniers, compte tenu des errements notés à chaque fois qu’un « Dossier politique » est soulevé par le pouvoir en place », s’indignent Abdourahmane et Cie.
S’agissant de l’installation officielle du HCCT et de ses membres, la COS/M23 campe toujours sur ses positions, «pour dénoncer une dilapidation de nos maigre ressources, pour caser une clientèle politique, au détriment des urgences de l’heure».
Le président de la commission de signaler, dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, à l’opinion «que l’argent à hauteur de milliards qui sera utilisé pour le fonctionnement de cette institution budgétivore, pouvait bien servir à venir en aide aux insuffisants rénaux qui enregistre quatre mille (4000) nouveaux cas chaque année, dont six (6.000.000.000) auraient suffi pour régler définitivement leur prise en charge».
La COS/M23 estime que «le motif de la territorialisation des politiques publiques, ne passe pas devant d’autres priorités sociales au-delà des désagréments causés par la survenue de l’Acte trois de la décentralisation pour des raisons politiciennes».
Portant sur «le foncier dont la gestion nébuleuse et autoritaire a valu au Sénégalais beaucoup de litiges et de désarroi», la COS/M23, tire la sonnette d’alarme «sur le cas de l’affectation de mille (1000) hectares de terres à Dioukoul, département de Kébémer, attribués à la Société SENEGINDIA SARL, par le Conseil municipal de la localité. Acte posé sans la préalable consultation des populations locales, mais encore plus grave, en violation des dispositions de la loi».
La COS/M23 demande «à l’État du Sénégal, par ses autorités administratives de revenir sur cette décision illégale, et de faire respecter l’entièreté des dispositions retenues par la loi dans le cadre de cession matière foncière».
«Quant à l’affaire Petro Tim qui oppose l’homme d’affaires Frank TIMIS et le petit frère du Président de la République, Monsieur Alioune SALL d’une part et les membres du Front pour la défense du Sénégal/ Manko Wattu Sénégal d’autre part», la position de la COS/M23 est sans équivoque.
Elle exige «toute la lumière sur cette affaire qui à bien des égards, étale à suffisance des relents d’enrichissement illicite, de fraude fiscale, de conflits d’intérêts et de corruption, entre autres griefs à l’endroit de Messieurs TIMIS et SALL».
La COS/M23 réitère «son soutien sans faille à tous ces Sénégalais soucieux d’une gestion transparente et vertueuse de nos ressources, qu’elles soient naturelles ou financières, et encourage le front Manko Wattu Sénégal à aller au bout de sa logique en interpellant les juridictions compétentes à arbitrer ce contentieux et faire la lumière sur cette nébuleuse qui préoccupe plus d’un Sénégalais».
Par ailleurs, la COS/M23 manifeste «toute sa solidarité au front Manko quant à la tenue de sa marche, violemment réprimée par l’État du Sénégal, tout en appelant les membres à la solidarité et à l’union des forces…».