La célèbre styliste Diouma Dieng Diakhaté ne cache pas les difficultés qu'elle éprouve pendant une journée de jeûne dans ce mois de Ramadan. Dans un portrait circonstanciel fait d'elle par nos confrères de L'Observateur, l'ambassadrice itinérante a raconté comment se passe d'habitude sa journée de travail dans cette période.
Et si elle est assez tenace le matin, elle avoue que dans l'après-midi, ses nerfs sont à fleur de peau. Surtout à partir de 16 heures où après une matinée assez intense en activité, la fatigue pointe le bout de son nez. "Dama ragal koor (je ne supporte pas la faim). Dans ses situations, mes nerfs sont à vifs. Et pour un rien, je m'irrite", confite-t-elle dans les colonnes du journal.
A 18 heures, Diouma Dieng Diakhaté songe déjà à rentrer chez elle pour rompre le jeûne. Son ventre crie famine, elle ne peut plus rien faire, sa ronde à l'étage pour superviser le travail des tailleurs à l'immeuble Shalimar va attendre le lendemain. "Je n'ai plus la capacité de montrer les escaliers. C'est au-dessus de mes forces".
Et si elle est assez tenace le matin, elle avoue que dans l'après-midi, ses nerfs sont à fleur de peau. Surtout à partir de 16 heures où après une matinée assez intense en activité, la fatigue pointe le bout de son nez. "Dama ragal koor (je ne supporte pas la faim). Dans ses situations, mes nerfs sont à vifs. Et pour un rien, je m'irrite", confite-t-elle dans les colonnes du journal.
A 18 heures, Diouma Dieng Diakhaté songe déjà à rentrer chez elle pour rompre le jeûne. Son ventre crie famine, elle ne peut plus rien faire, sa ronde à l'étage pour superviser le travail des tailleurs à l'immeuble Shalimar va attendre le lendemain. "Je n'ai plus la capacité de montrer les escaliers. C'est au-dessus de mes forces".