Une ambiance électrique s’est emparée de Ouaga 2000, aux abords du palais présidentiel. Les coups de feu ont commencé à tonner tard dans la soirée du jeudi 14 avril. Après un moment de répit, cela a repris dans la matinée du 15 avril. Des soupçons de coup d’état pèsent, cependant un journaliste que nous avons joint et quelques observateurs estiment qu’il n’y a pas de dessein subversif dans ces actes et que ces sont de petits soldats qui manifestent contre leur difficile condition de travail et de vie. Toutefois, le président Blaise Compaoré s’est vite refugié à son village natal (30km de Ouaga).
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