La quantité du pétrole découvert au Sénégal est à la base des sorties de ceux qui accusent le régime du Président Macky Sall, d’opacité dans la gestion de ce dossier. C’est du moins ce que soutient Mahammad Boune Abdallah Dione qui affirme que : «Ces découvertes sont si importantes qu'il y a tout ce bruit pour salir la nation sénégalaise».
Selon lui ces découvertes découlent de la «Baraka » du Président Macky Sall car fait-il savoir: «160 puits, soit 500 milliards ont été investis dans les forages sans succès. Du temps de Macky Sall, il y en a eu 8 avec succès ».
Expliquant les procédures d’attribution des licences d’exploitation, il a soutenu qu’«on ne gagne pas d’argent dans la phase de l'exploration. Il nous faut être modeste. Nous n'avons pas le monopole de l'intelligence».
Continuant sur sa lancée, le chef du gouvernement déclare : «L'Assemblée nationale, en 1998, a réformé la loi sur le pétrole ». Ce qui implique que : «quand vous avez une licence, vous ne pouvez la rétrocéder. Une obligation de travaux est fixée à tout détenteur de permis sous peine de payer des pénalités si des recherches ne sont pas effectuées».
Lors du point de presse, le Chef du gouvernement parle de «250 millions de $ de pénalités si l'entreprise bloque les travaux».
Mahammad Abdallah Dionne fait état de trois (3) contrats de recherche annulés sur quatorze (14). C’est ainsi, déclare le Premier ministre que le contrat de Timis a été annulé pour «non satisfaction des engagements».
Nous y reviendrons.
Selon lui ces découvertes découlent de la «Baraka » du Président Macky Sall car fait-il savoir: «160 puits, soit 500 milliards ont été investis dans les forages sans succès. Du temps de Macky Sall, il y en a eu 8 avec succès ».
Expliquant les procédures d’attribution des licences d’exploitation, il a soutenu qu’«on ne gagne pas d’argent dans la phase de l'exploration. Il nous faut être modeste. Nous n'avons pas le monopole de l'intelligence».
Continuant sur sa lancée, le chef du gouvernement déclare : «L'Assemblée nationale, en 1998, a réformé la loi sur le pétrole ». Ce qui implique que : «quand vous avez une licence, vous ne pouvez la rétrocéder. Une obligation de travaux est fixée à tout détenteur de permis sous peine de payer des pénalités si des recherches ne sont pas effectuées».
Lors du point de presse, le Chef du gouvernement parle de «250 millions de $ de pénalités si l'entreprise bloque les travaux».
Mahammad Abdallah Dionne fait état de trois (3) contrats de recherche annulés sur quatorze (14). C’est ainsi, déclare le Premier ministre que le contrat de Timis a été annulé pour «non satisfaction des engagements».
Nous y reviendrons.