Le président du Burkina Faso serait de retour au palais présidentiel. Après avoir quitté la capitale quelques heures après le déclenchement de la mutinerie de la garde présidentielle, Blaise Compaoré est de retour à Ouagadougou.
Il avait quitté Ouagadougou dans la nuit de jeudi à vendredi pour se rendre dans sa ville d'origine, Ziniaré, située à une trentaine de km au nord de la capitale.
Les soldats se sont rebellés pour réclamer de meilleures de condition de vie. C’est la troisième fois qu’ils déclenchent un mouvement similaire. Cette fois-ci la garde présidentielle est entrée dans la danse. Ce qui a suscité des frayeurs dans l’état major de l’armée qui a préféré évacuer le président de la République qui a choisi la destination de son village natal.
«Il y a une semaine. Ils ont rencontré le chef de l’Etat et des décisions ont pas été prises mais ne sont toujours pas appliquées dix jours après, aucune solution n’a filtré. Alors les soldats ont dit à leurs supérieurs que ça va se régler entre militaires», a confié une journaliste jointe au téléphone il y a quelques minutes.
Notre source a souligné qu’il y a certaines zones qui sont proches de Ouaga 2000 qui sont actuellement barrées. Généralement, a-t-elle indiqué, les mutins manifestent leur mécontentement la nuit. La consoeur a fait savoir qu’actuellement les gens vaquent à leurs occupations et que malgré tout un calme précaire règne en maître à Ouaga et dans tout le territoire du Faso.
Il avait quitté Ouagadougou dans la nuit de jeudi à vendredi pour se rendre dans sa ville d'origine, Ziniaré, située à une trentaine de km au nord de la capitale.
Les soldats se sont rebellés pour réclamer de meilleures de condition de vie. C’est la troisième fois qu’ils déclenchent un mouvement similaire. Cette fois-ci la garde présidentielle est entrée dans la danse. Ce qui a suscité des frayeurs dans l’état major de l’armée qui a préféré évacuer le président de la République qui a choisi la destination de son village natal.
«Il y a une semaine. Ils ont rencontré le chef de l’Etat et des décisions ont pas été prises mais ne sont toujours pas appliquées dix jours après, aucune solution n’a filtré. Alors les soldats ont dit à leurs supérieurs que ça va se régler entre militaires», a confié une journaliste jointe au téléphone il y a quelques minutes.
Notre source a souligné qu’il y a certaines zones qui sont proches de Ouaga 2000 qui sont actuellement barrées. Généralement, a-t-elle indiqué, les mutins manifestent leur mécontentement la nuit. La consoeur a fait savoir qu’actuellement les gens vaquent à leurs occupations et que malgré tout un calme précaire règne en maître à Ouaga et dans tout le territoire du Faso.