C'est aux environs de 12 heures que la famille Ndiaye a été alertée par des cris. Le corps de Ndiassé Ndiaye flottant dans le bassin. Et c'est finalement les sapeurs pompiers qui ont été alertés afin que ces derniers puissent procéder à l'évacuation du corps. Selon sa grand mère Sokhna Bineta Ndiaye, il souffrait de troubles psychiques lors de ces derniers jours. "Nous avions notés un changement de comportement chez lui. Il jetait des pierres aux passants. Ce qui nous avait inquiété. Son père et sa mère ne sont plus de ce monde" explique-t-elle. Et au sein de la famille de Ndiassé, c'est la tristesse, et la consternation. Même son de cloche pour son grand-père Modou Ngom. A l'en croire, c'est comme si leur enfant avait senti qu'il quittait ce monde.
Au delà de la mort de Ndiassé Ndiaye, les populations environnantes ont lancé de nouveau des cris d'alerte. Selon Aïda Fall, voisine des Ndiaye, les bassins font des victimes chaque jour. "Ils ne sont pas protégés. Et pourtant, nos enfants jouent aux périphéries. Il revient aux autorités de protéger les bassins de rétention" clame-t-elle. En effet, d'aucuns avait qualifié ces bassins de rétention comme étant de "véritables bombes écologiques". Mais, pire encore, le nombre de morts augmente car la dernière en date avait été le repêchage d'une fille inconnue dans le quartier. Ce qui fait un nombre incalculable de décès. "Il n'y pas de lumière aux alentours et les autorités laissent faire. Nous ne sommes pas en sécurité et donc on est exposé au danger" martèlent les populations.
La police a ouvert une enquête afin de déterminer les circonstances de la mort.
Abdou K. Diop (Correspondant dans la banlieue)
Au delà de la mort de Ndiassé Ndiaye, les populations environnantes ont lancé de nouveau des cris d'alerte. Selon Aïda Fall, voisine des Ndiaye, les bassins font des victimes chaque jour. "Ils ne sont pas protégés. Et pourtant, nos enfants jouent aux périphéries. Il revient aux autorités de protéger les bassins de rétention" clame-t-elle. En effet, d'aucuns avait qualifié ces bassins de rétention comme étant de "véritables bombes écologiques". Mais, pire encore, le nombre de morts augmente car la dernière en date avait été le repêchage d'une fille inconnue dans le quartier. Ce qui fait un nombre incalculable de décès. "Il n'y pas de lumière aux alentours et les autorités laissent faire. Nous ne sommes pas en sécurité et donc on est exposé au danger" martèlent les populations.
La police a ouvert une enquête afin de déterminer les circonstances de la mort.
Abdou K. Diop (Correspondant dans la banlieue)