Les leaders d'organisations paysannes ont exprimé leurs préoccupation concernant la qualité des intrants agricoles distribués aux producteurs dans le bassin arachidier. Ces inquiétudes ont été soulevées lors d'une conférence de presse tenue hier jeudi, par le mouvement "Aar Sunu Momel", regroupant des leaders paysans, suite aux premières pluies importantes de la saison à Kaolack.
Selon les responsables du mouvement, les intrants distribués dans la région sont de mauvaise qualité. « Les semences certifiées font défaut, et les producteurs se retrouvent avec des graines de qualité inférieure, voire médiocre, dans certaines localités », ont-ils dénoncé. Ces derniers ont interpellé le gouvernement, notamment le ministre de l'Agriculture, sur cette question qui « compromet sérieusement les espoirs d'une campagne agricole réussie cette année ».
Outre cela, certains opérateurs économiques sont également aussi accusés d'être responsables de cette situation. Les paysans dénoncent la distribution insuffisante de graines, leur coût élevé et leur qualité médiocre. Les agriculteurs ont signalé que « des sacs d'arachides sont mélangés à du sable et que certains sacs contiennent des insectes. Ces intrants ne répondent pas aux normes requises et entraînent des pertes pour les producteurs qui devront supporter les conséquences financières de cette situation », ont-ils indiqué.
Pire encore, les leaders paysans ont déploré le comportement de certains opérateurs économiques et prétendus membres des commissions de distribution qui profiteraient de la vulnérabilité des paysans pour leur vendre ces intrants à des prix exorbitants, relate « Libération ». Il convient de souligner que, l'année précédente, le gouvernement avait mobilisé 24 milliards de francs CFA pour l'achat de semences, mais les résultats obtenus étaient mitigés. Cette année, sur un budget de 100 milliards de francs CFA alloué à l'agriculture, 24 milliards sont prévus pour les intrants. Les leaders paysans estiment que si cet investissement massif ne parvient pas à résoudre le problème des semences agricoles dans les zones rurales, des mesures d'urgence doivent être prises pour rectifier la situation.
Ainsi, ils ont exhorté les autorités à prendre des mesures immédiates. Ce, en garantissant la qualité des semences à la distribution transparente et équitable des intrants agricoles.
Selon les responsables du mouvement, les intrants distribués dans la région sont de mauvaise qualité. « Les semences certifiées font défaut, et les producteurs se retrouvent avec des graines de qualité inférieure, voire médiocre, dans certaines localités », ont-ils dénoncé. Ces derniers ont interpellé le gouvernement, notamment le ministre de l'Agriculture, sur cette question qui « compromet sérieusement les espoirs d'une campagne agricole réussie cette année ».
Outre cela, certains opérateurs économiques sont également aussi accusés d'être responsables de cette situation. Les paysans dénoncent la distribution insuffisante de graines, leur coût élevé et leur qualité médiocre. Les agriculteurs ont signalé que « des sacs d'arachides sont mélangés à du sable et que certains sacs contiennent des insectes. Ces intrants ne répondent pas aux normes requises et entraînent des pertes pour les producteurs qui devront supporter les conséquences financières de cette situation », ont-ils indiqué.
Pire encore, les leaders paysans ont déploré le comportement de certains opérateurs économiques et prétendus membres des commissions de distribution qui profiteraient de la vulnérabilité des paysans pour leur vendre ces intrants à des prix exorbitants, relate « Libération ». Il convient de souligner que, l'année précédente, le gouvernement avait mobilisé 24 milliards de francs CFA pour l'achat de semences, mais les résultats obtenus étaient mitigés. Cette année, sur un budget de 100 milliards de francs CFA alloué à l'agriculture, 24 milliards sont prévus pour les intrants. Les leaders paysans estiment que si cet investissement massif ne parvient pas à résoudre le problème des semences agricoles dans les zones rurales, des mesures d'urgence doivent être prises pour rectifier la situation.
Ainsi, ils ont exhorté les autorités à prendre des mesures immédiates. Ce, en garantissant la qualité des semences à la distribution transparente et équitable des intrants agricoles.