L’ancien premier ministre Idrissa Seck n’est pas le seul à avoir consulté des constitutionnalistes pour avoir une idée nette sur la validité de la candidature de Me Abdoulaye Wade.
Le ministre d’Etat, ministre de l’Environnement, Djibo Leyti Kâ a révélé avoir eu l’avis de plus d’une dizaine de spécialistes de la question sans en citer le nom d’un seul comme l’a fait Idrissa Seck qui a évoqué le nom du professeur français de droit, Guy Carcassonne, et le Sénégalais, Serigne Diop, par ailleurs actuel médiateur de la république.
«J’ai consulté dix constitutionnalistes éminents, sénégalais et étrangers», a confié hier Djibo Leyti Kâ, président de la commission des Sénégalais de l’extérieur au sein de l’Alliance Sopi pour toujours (AST) qui participait au déjeuner de presse organisée par la Task Force électorale sur le thème : «Conclusion de l’audit international du fichier : enjeu d’un verdict».
«Certains nous ont dit que nous avions notre temps et que notre candidat a le droit de se présenter comme il se doit», a expliqué le chef de file de l’Union pour le Renouveau démocratique(URD). C’est la raison pour laquelle il veut éviter une polémique. «Ce n’est pas la peine qu’on entre dans des querelles inutiles», calme-t-il.
Cependant, il estime que ce débat doit être tranché par l’instance régulièrement compétente à cela, le conseil constitutionnel, en l’occurrence.
Le président de la commission des Sénégalais de l’extérieur au sein de l’Alliance Sopi pour toujours (AST) a annoncé que «la loi de 2001 ne peut être rétroactive». Toutefois, il n’écarte pas l’idée de recourir à l’Assemblée nationale pour une loi interprétative sur la candidature de leur candidat. «(…) S’il y a un doute constaté quelque part, on ne peut pas exclure que l’Assemblée nationale soit saisie d’une loi interprétative», a indiqué Djibo Kâ.
Le ministre d’Etat, ministre de l’Environnement, Djibo Leyti Kâ a révélé avoir eu l’avis de plus d’une dizaine de spécialistes de la question sans en citer le nom d’un seul comme l’a fait Idrissa Seck qui a évoqué le nom du professeur français de droit, Guy Carcassonne, et le Sénégalais, Serigne Diop, par ailleurs actuel médiateur de la république.
«J’ai consulté dix constitutionnalistes éminents, sénégalais et étrangers», a confié hier Djibo Leyti Kâ, président de la commission des Sénégalais de l’extérieur au sein de l’Alliance Sopi pour toujours (AST) qui participait au déjeuner de presse organisée par la Task Force électorale sur le thème : «Conclusion de l’audit international du fichier : enjeu d’un verdict».
«Certains nous ont dit que nous avions notre temps et que notre candidat a le droit de se présenter comme il se doit», a expliqué le chef de file de l’Union pour le Renouveau démocratique(URD). C’est la raison pour laquelle il veut éviter une polémique. «Ce n’est pas la peine qu’on entre dans des querelles inutiles», calme-t-il.
Cependant, il estime que ce débat doit être tranché par l’instance régulièrement compétente à cela, le conseil constitutionnel, en l’occurrence.
Le président de la commission des Sénégalais de l’extérieur au sein de l’Alliance Sopi pour toujours (AST) a annoncé que «la loi de 2001 ne peut être rétroactive». Toutefois, il n’écarte pas l’idée de recourir à l’Assemblée nationale pour une loi interprétative sur la candidature de leur candidat. «(…) S’il y a un doute constaté quelque part, on ne peut pas exclure que l’Assemblée nationale soit saisie d’une loi interprétative», a indiqué Djibo Kâ.
Autres articles
-
Législatives 2024 : Aly Ngouille Ndiaye lance son parti politique
-
Reddition des comptes : les premiers ordres de poursuites lancés, un homme d'affaires auditionné ce vendredi
-
Adhésion à l'Alliance pour la transparence des élections (ATEL) : Amadou Ba dit oui, Déthié Fall et le PDS pas encore certains
-
Elections législatives anticipées : Tout ce qu'il faut savoir sur le processus électoral
-
Élections législatives : des acteurs territoriaux mettent en place « La Marche des territoires/ANDU NAWLÉ »