Parmi les sujets de discorde figure l’accord-cadre, signé en 2014, entre le gouvernement et l’opposition et qui prévoyait notamment une réforme de la Commission électorale nationale indépendante (Céni). « Une réforme qui n’a pas eu lieu », dénonce l'opposition.
Interrogé, samedi 5 mars, sur cette question lors d’une conférence de presse, à Kigali, à l’issue d’une visite de deux jours au Rwanda, le président djiboutien, Ismaïl Omar Guelleh, a botté en touche.
« Nous, la partie gouvernementale, nous estimons avoir rempli notre part du marché c’est-à-dire que nous avons donné notre avis sur la Commission électorale et nous avons aussi accepté toutes les autres conditions demandées par l’opposition. Maintenant, si les deux acteurs sont sérieux et fiables, il ne doit pas y avoir de problèmes politiques chez nous. L’opposition est là. Elle va présenter ses candidats et nous allons nous retrouver sur le terrain », a déclaré le président de Djibouti, Isamaïl Omar Guelleh.
Source:Rfi.fr
Interrogé, samedi 5 mars, sur cette question lors d’une conférence de presse, à Kigali, à l’issue d’une visite de deux jours au Rwanda, le président djiboutien, Ismaïl Omar Guelleh, a botté en touche.
« Nous, la partie gouvernementale, nous estimons avoir rempli notre part du marché c’est-à-dire que nous avons donné notre avis sur la Commission électorale et nous avons aussi accepté toutes les autres conditions demandées par l’opposition. Maintenant, si les deux acteurs sont sérieux et fiables, il ne doit pas y avoir de problèmes politiques chez nous. L’opposition est là. Elle va présenter ses candidats et nous allons nous retrouver sur le terrain », a déclaré le président de Djibouti, Isamaïl Omar Guelleh.
Source:Rfi.fr