Invitée de l’émission Midi Keng sur PressAfrik TV HD ce vendredi 4 octobre, Dr Coumba Mar Gadio, membre du Réseau des Femmes Leaders Africaines (AWLN), a abordé la problématique des violences faites aux femmes et aux filles, un phénomène qu’elle qualifie de véritable fléau dans la société africaine.
Selon elle, 42 % des femmes en Afrique Australe et en Afrique de l’Est subissent des violences sexuelles ou physiques, soulignant l’ampleur de cette crise qui « gangrène » la société et nécessite des actions urgentes.
À en croire Mme Gadio, dans certains pays africains, surtout en Afrique australe et en Afrique de l’Ouest, « il y a presque 42 % des femmes qui ont vécu des violences soit sexuelles ou physiques au cours de leurs vies ».
« Un phénomène qui gangrène la société africaine et qui prend de l’ampleur », a-t-elle ajouté.
Cependant, poursuit-elle, « on doit lutter contre ce fléau, nous tous savons comment se manifeste ces violences que ça soit dans les ménages ou n’importe, dans les zones où il y a les conflits, c’est encore pire. C’est ce qui est à l’origine de notre réseau pour éradiquer une bonne fois ce phénomène partout en Afrique et dans le monde », a fait savoir Dr Coumba Mar Gadio.
Par ailleurs, la présidente de AWLN a souligné que c’est lors du sommet des chefs d’Etat de l’Union Africaine en février 2023, que la décision a été prise de créer une « convention afin d’éliminer toutes les formes de violences faites aux femmes et aux filles en Afrique ».
« Cette convention a permis de faire progresser la lutte contre ces violences faite aux femmes en Afrique. C’est une nécessité, c’est une réponse à ce phénomène qui est en train de faire des ravages dans nos communautés », a fait savoir Dr Coumba Mar Gadio.
Selon elle, 42 % des femmes en Afrique Australe et en Afrique de l’Est subissent des violences sexuelles ou physiques, soulignant l’ampleur de cette crise qui « gangrène » la société et nécessite des actions urgentes.
À en croire Mme Gadio, dans certains pays africains, surtout en Afrique australe et en Afrique de l’Ouest, « il y a presque 42 % des femmes qui ont vécu des violences soit sexuelles ou physiques au cours de leurs vies ».
« Un phénomène qui gangrène la société africaine et qui prend de l’ampleur », a-t-elle ajouté.
Cependant, poursuit-elle, « on doit lutter contre ce fléau, nous tous savons comment se manifeste ces violences que ça soit dans les ménages ou n’importe, dans les zones où il y a les conflits, c’est encore pire. C’est ce qui est à l’origine de notre réseau pour éradiquer une bonne fois ce phénomène partout en Afrique et dans le monde », a fait savoir Dr Coumba Mar Gadio.
Par ailleurs, la présidente de AWLN a souligné que c’est lors du sommet des chefs d’Etat de l’Union Africaine en février 2023, que la décision a été prise de créer une « convention afin d’éliminer toutes les formes de violences faites aux femmes et aux filles en Afrique ».
« Cette convention a permis de faire progresser la lutte contre ces violences faite aux femmes en Afrique. C’est une nécessité, c’est une réponse à ce phénomène qui est en train de faire des ravages dans nos communautés », a fait savoir Dr Coumba Mar Gadio.
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