Le Président de la RADDHO, Alioune Tine a souligné au cours de cette rencontre que les gouvernants font tout pour affaiblir les organisations civiles des droits de l’homme au Sénégal. A son avis «il n’ya pas de vision claire des droits humains pour les gouvernants au Sénégal ». Il s’est justifié par « la multiplicité des structures chargées de la coordination de ces questions au Sénégal ».
Une position partagée par le Représentant d’Open Society Institute (OSI) Ibrahima Kane qui a estimé à son tour que «depuis l’alternance les autorités ont essayé de marginaliser les organismes de la société civile chargés de la question des droits de l’Homme au Sénégal». Ainsi pour faire face à ces oppressions le défenseur des droits humains a demandé à ce que les organismes des droits de l’homme se battent pour faire valoir leurs droits car même si cela se fait c’est de façon très dispersée.
En plus M. Kane préfère parler d’incohérence gouvernementale là où d’autres parlent d’instabilité gouvernementale. La réalité est qu’on se retrouve dans une forêt juridique et on ne sait pas qui fait quoi, même s’il ya des cas de problèmes des droits de l’homme on ne sait pas à qui s’adresser a-t-il confié à l’assistance.
Selon Abdoul Aziz Badiane de l’Organisation nationale des Droits de l’Homme (ONDH) «depuis 9 ans le comité sénégalais des droits humains n’a déposé aucun rapport car les autorités soutiennent que ce sont des contres pouvoirs». Avant d’ajouter que « les organismes de droits humains doivent sortir des salons pour rencontrer les populations ».
Une position partagée par le Représentant d’Open Society Institute (OSI) Ibrahima Kane qui a estimé à son tour que «depuis l’alternance les autorités ont essayé de marginaliser les organismes de la société civile chargés de la question des droits de l’Homme au Sénégal». Ainsi pour faire face à ces oppressions le défenseur des droits humains a demandé à ce que les organismes des droits de l’homme se battent pour faire valoir leurs droits car même si cela se fait c’est de façon très dispersée.
En plus M. Kane préfère parler d’incohérence gouvernementale là où d’autres parlent d’instabilité gouvernementale. La réalité est qu’on se retrouve dans une forêt juridique et on ne sait pas qui fait quoi, même s’il ya des cas de problèmes des droits de l’homme on ne sait pas à qui s’adresser a-t-il confié à l’assistance.
Selon Abdoul Aziz Badiane de l’Organisation nationale des Droits de l’Homme (ONDH) «depuis 9 ans le comité sénégalais des droits humains n’a déposé aucun rapport car les autorités soutiennent que ce sont des contres pouvoirs». Avant d’ajouter que « les organismes de droits humains doivent sortir des salons pour rencontrer les populations ».