«Tout a commencé avec mon père, instituteur, auteur et compositeur qui, tout au début, faisait de la musique avec ses frères et ami du village de Ngor». C’est par cette phrase que Cheikhou Mah a résumé la fibre artistique sur laquelle il compte s’appuyer pour connaitre la culture Léboue, et son village natal : Ngor. Le chanteur qui était en conférence de presse ce matin a profité de cette occasion pour présenter son album intitulé : « Dudu Mah», en hommage à son frère décédé.
Ce frère que Cheikhou, master 2 en droit des affaires et management des entreprises, conseiller municipal de la commune de Ngor, a chanté, lui avait soufflé à l’oreille, en guise de dernière volonté : «La clé de ma guitare et les papiers dont tu auras besoin sont tous dans la poche de ma veste», parce que «la mort nous guette tous», a décuplé ses forces, ce qui lui a permis d’affronter les dures réalités du monde de l’art et l’aboutissement est aujourd’hui la sortie de cet album de 11 titres.
«Dudu Mah» retrace ainsi la complicité de deux frères que même la mort n’a pas pu entacher avec, notamment le titre 1 de son album intitulé Dudu Mah. Mais l’artiste n’a pas oublié ses origine avec «Guedj» dans lequel il chante la complicité de la communauté léboue, à laquelle il appartient, avec la mer, ou encore «Naby», morceau dans lequel il loue le Prophète Mouhammad (PSL) et où il s’est fait accompagner par la chorale élite renaissance de Dakar, une façon pour lui de jouer sa partition dans le dialogue islamo-chrétien.
Ce frère que Cheikhou, master 2 en droit des affaires et management des entreprises, conseiller municipal de la commune de Ngor, a chanté, lui avait soufflé à l’oreille, en guise de dernière volonté : «La clé de ma guitare et les papiers dont tu auras besoin sont tous dans la poche de ma veste», parce que «la mort nous guette tous», a décuplé ses forces, ce qui lui a permis d’affronter les dures réalités du monde de l’art et l’aboutissement est aujourd’hui la sortie de cet album de 11 titres.
«Dudu Mah» retrace ainsi la complicité de deux frères que même la mort n’a pas pu entacher avec, notamment le titre 1 de son album intitulé Dudu Mah. Mais l’artiste n’a pas oublié ses origine avec «Guedj» dans lequel il chante la complicité de la communauté léboue, à laquelle il appartient, avec la mer, ou encore «Naby», morceau dans lequel il loue le Prophète Mouhammad (PSL) et où il s’est fait accompagner par la chorale élite renaissance de Dakar, une façon pour lui de jouer sa partition dans le dialogue islamo-chrétien.