L’inimitié entre Souleymane Ndéné Ndiaye et Innocence Ntap Ndiaye a beaucoup perturbé la réunion du Comité directeur du PDS qui s’est tenue ce jeudi 17 novembre au palais présidentiel. En effet, le Premier ministre a profité de la rencontre pour interpeller directement l’ancienne ministre de la Fonction publique. Très remonté contre le ministre d’Etat sans portefeuille, le maire de Guinguinéo l’a accusé d’avoir fait une sortie dans la presse pour réclamer sa démission parce qu’il a été hué à la mosquée Omarienne de Dakar. «Le président avait interdit aux responsables de déplacer le débat du parti dans la presse», a déclaré le Premier ministre avant d’exhiber un exemplaire du journal en question. «Dites moi, pourquoi je devrais démissionner», a-t-il tonné.
Cette interpellation de Souleymane Ndéné Ndiaye a véritablement irrité Innocence Ntap Ndiaye qui selon nos sources, n’a pas voulu se laisser faire. Elle a nié les propos avant de faire comprendre qu’il y avait sept (7) journaux lors de cette manifestation qui s’est déroulée un vendredi à la grande mosquée Omarienne mais un seul journal a fait mention de ce que vous portez en épingle. Le Premier ministre doit avoir d’autres canaux d’information. Il ne doit pas, selon elle, se contenter de la une des journaux pour juger ou se faire une religion. «Cela amène un climat délétère au palais et dans le gouvernement. C’est trop léger que vous brandissiez un seul journal alors qu’il y avait sept journaux», a-t- relevé.
L’ancienne ministre de la Fonction publique ne s’arrête pas en si bon chemin. «Le président est généralement abusé. Les gens lui donnent souvent des extraits sonores tirés de la presse pour le mettre en mal avec des gens. Quand des responsables sont hués, ils doivent faire une introspection. On doit revoir nos comportements. Si des responsables sont hués, il y a problème. S’il y a autant de faits, il y a malaise. Une sortie pareille ne doit pas pousser le PM à sortir de mes gongs», a rétorqué Innocence Ntap Ndiaye. Avant d’ajouter : «il y a quelqu’un qui avait demandé que Malick Gueye (qui était présent dans la salle, NDLR) soit viré du Comité directeur. Ce n’est pas efficace, il faut accepter certaines critiques». Ces propos ont ainsi créé une clameur. Une bonne partie des membres du comité directeur ont ainsi semblé être en phase avec la responsable libérale de Ziguinchor.
Cette clameur a poussé le secrétaire général national du PDS d’intervenir pour remettre de l’ordre. Il a rappelé son interdiction que les contentieux entre responsables libéraux se vident dans les médias. «Je n’accepterai plus jamais qu’on s’attaque aux responsables du parti. C’est la dernière fois que je laisse passer de telle chose». Abdoulaye Wade de se faire menaçant : «la prochaine fois, je ne parle même pas de limogeage du gouvernement, mais je vais l’exclure du parti».
Cette interpellation de Souleymane Ndéné Ndiaye a véritablement irrité Innocence Ntap Ndiaye qui selon nos sources, n’a pas voulu se laisser faire. Elle a nié les propos avant de faire comprendre qu’il y avait sept (7) journaux lors de cette manifestation qui s’est déroulée un vendredi à la grande mosquée Omarienne mais un seul journal a fait mention de ce que vous portez en épingle. Le Premier ministre doit avoir d’autres canaux d’information. Il ne doit pas, selon elle, se contenter de la une des journaux pour juger ou se faire une religion. «Cela amène un climat délétère au palais et dans le gouvernement. C’est trop léger que vous brandissiez un seul journal alors qu’il y avait sept journaux», a-t- relevé.
L’ancienne ministre de la Fonction publique ne s’arrête pas en si bon chemin. «Le président est généralement abusé. Les gens lui donnent souvent des extraits sonores tirés de la presse pour le mettre en mal avec des gens. Quand des responsables sont hués, ils doivent faire une introspection. On doit revoir nos comportements. Si des responsables sont hués, il y a problème. S’il y a autant de faits, il y a malaise. Une sortie pareille ne doit pas pousser le PM à sortir de mes gongs», a rétorqué Innocence Ntap Ndiaye. Avant d’ajouter : «il y a quelqu’un qui avait demandé que Malick Gueye (qui était présent dans la salle, NDLR) soit viré du Comité directeur. Ce n’est pas efficace, il faut accepter certaines critiques». Ces propos ont ainsi créé une clameur. Une bonne partie des membres du comité directeur ont ainsi semblé être en phase avec la responsable libérale de Ziguinchor.
Cette clameur a poussé le secrétaire général national du PDS d’intervenir pour remettre de l’ordre. Il a rappelé son interdiction que les contentieux entre responsables libéraux se vident dans les médias. «Je n’accepterai plus jamais qu’on s’attaque aux responsables du parti. C’est la dernière fois que je laisse passer de telle chose». Abdoulaye Wade de se faire menaçant : «la prochaine fois, je ne parle même pas de limogeage du gouvernement, mais je vais l’exclure du parti».