Le Collectif des enseignants de l'École nationale de développement sanitaire et social (Endss) a décidé de porter plainte contre certains étudiants. Ces enseignants étaient bloqués pendant plusieurs heures dans leur bureau, de 15 heures à 23 heures, ce mardi 30 avril. Il a fallu l’intervention du préfet de Dakar pour les libérer.
Meïssa Diouf le porte-parole du collectif raconte : «nous avons était victimes de séquestration de la part des étudiants de l’ENDSS de 15 heures à 23 heures. Donc un groupe d’étudiants dont nous ignorons les motivations. Parce que la plupart des étudiants veut lever le mot d’ordre, il y a un groupe de cinq à dix étudiants qui veulent poursuivre la grève. Nous, ce qui nous heurte, par l’intermédiaire de la direction, on a informé la police. Mais durant tout ce temps, nous n’avons pas vu l’ombre d’un policier. C’est inadmissible. Nous nous sommes des agents de l’Etat. Nous sommes des fonctionnaires. Nous avons droit à une protection. À un minimum de respect de la part de l’Etat ».
Mieux déplore M. Diouf : « On ne peut pas être séquestrés pendant plus de 6 heures de temps et que l’autorité ne réagisse pas. Nous le dénonçons vivement. N’eût-été l’intervention du préfet de Dakar, je pense que la plupart des enseignants allait passer la nuit à l’école. Nous demandons une protection de la part des autorités ».
Sur les ondes de la Rfm, Diouf annonce que, l’amicale des enseignants de l’ENDSS a décidé de porter plainte contre ces étudiants devant le procureur de la République dès jeudi. «Nous avons les éléments de preuve, des personnes ont été identifiées, et maintenant nous avons pris la décision, en concert avec notre avocat, de porter plainte devant le procureur».
Meïssa Diouf le porte-parole du collectif raconte : «nous avons était victimes de séquestration de la part des étudiants de l’ENDSS de 15 heures à 23 heures. Donc un groupe d’étudiants dont nous ignorons les motivations. Parce que la plupart des étudiants veut lever le mot d’ordre, il y a un groupe de cinq à dix étudiants qui veulent poursuivre la grève. Nous, ce qui nous heurte, par l’intermédiaire de la direction, on a informé la police. Mais durant tout ce temps, nous n’avons pas vu l’ombre d’un policier. C’est inadmissible. Nous nous sommes des agents de l’Etat. Nous sommes des fonctionnaires. Nous avons droit à une protection. À un minimum de respect de la part de l’Etat ».
Mieux déplore M. Diouf : « On ne peut pas être séquestrés pendant plus de 6 heures de temps et que l’autorité ne réagisse pas. Nous le dénonçons vivement. N’eût-été l’intervention du préfet de Dakar, je pense que la plupart des enseignants allait passer la nuit à l’école. Nous demandons une protection de la part des autorités ».
Sur les ondes de la Rfm, Diouf annonce que, l’amicale des enseignants de l’ENDSS a décidé de porter plainte contre ces étudiants devant le procureur de la République dès jeudi. «Nous avons les éléments de preuve, des personnes ont été identifiées, et maintenant nous avons pris la décision, en concert avec notre avocat, de porter plainte devant le procureur».
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