Eric Gerets, choach de l'OM est sur le départ (photo: sportweek.fr)
Eric Gerets, l'entraîneur belge de l'Olympique de Marseille, a annoncé à ses joueurs qu'il ne serait plus au club l'année prochaine. Une annonce qui confirme les informations publiées ce matin dans Le Parisien - Aujourd'hui-en-France.
L'entraîneur, en fin de contrat en juin prochain, aurait formulé des exigences en matière de recrutement pour éviter la même mésaventure la saison prochaine. Ses attentes n’auraient pas été satisfaites. Or, sans l’assurance d’un beau parcours européen, Gerets ne souhaiterait pas prendre le risque de faire moins bien.
Par ailleurs, financièrement, la demande de Gerets pour poursuivre l’aventure marseillaise place ses dirigeants dans une situation délicate. S’il accédait à cette exigence, Pape Diouf, le président, pourrait se le voir reprocher aux premières difficultés. Durant ses deux saisons, l’entraîneur a touché près de 210 000 € mensuels et il recevra une prime d’un million d’euros en cas de titre. « L’argent n’est pas un problème, assure-t-on dans les couloirs du club. Si Gerets n’a pas prolongé, c’est qu’il a sans doute trouvé mieux ailleurs. »
Source: Le Parisien:
L'entraîneur, en fin de contrat en juin prochain, aurait formulé des exigences en matière de recrutement pour éviter la même mésaventure la saison prochaine. Ses attentes n’auraient pas été satisfaites. Or, sans l’assurance d’un beau parcours européen, Gerets ne souhaiterait pas prendre le risque de faire moins bien.
Par ailleurs, financièrement, la demande de Gerets pour poursuivre l’aventure marseillaise place ses dirigeants dans une situation délicate. S’il accédait à cette exigence, Pape Diouf, le président, pourrait se le voir reprocher aux premières difficultés. Durant ses deux saisons, l’entraîneur a touché près de 210 000 € mensuels et il recevra une prime d’un million d’euros en cas de titre. « L’argent n’est pas un problème, assure-t-on dans les couloirs du club. Si Gerets n’a pas prolongé, c’est qu’il a sans doute trouvé mieux ailleurs. »
Source: Le Parisien: