"Il y a encore un risque énorme que l'épidémie se propage dans le monde" estime Anthony Banbury, chef de la mission des Nations Unies chargée de lutter contre Ebola.
L’ONU souhaitait qu’au 1er décembre, 70% des malades bénéficient d’une prise en charge médicale et qu’une même proportion de funérailles soient "sécurisées et dignes".
Anthony Banbury, refuse de dire si ces objectifs, fixés par la mission des Nations Unies, ont été pleinement remplis en Afrique de l’ouest.
En revanche, il affirme que plusieurs régions ont atteint ces chiffres ou s’en rapprocheraient.
Parmi les trois pays les plus touchés, le Libéria et la Guinée ont progressé dans la lutte contre le virus Ebola, mais la Sierra Leone a encore du mal à contrôler l’épidémie.