A Bamako, l’institut où se déroulent les premiers essais cliniques d’un vaccin contre Ebola est un centre de référence sur le continent. Des scientifiques chevronnés sont à la tâche. Ils sont chargés de faire les tests.
L’essai dit de « phase une » portera sur 40 personnes au Mali, âgées de 18 à 40 ans, toutes choisies parmi le personnel sanitaire chargé de s’occuper des cas suspects, mais aussi des personnes les plus exposées. En principe, avant la fin de l’année, on devrait savoir si les tests sont prometteurs, pour éventuellement déboucher sur la fabrication d’un vaccin efficace.
L’expérience en cours est notamment le fruit de la collaboration entre une université américaine et le gouvernement malien. Au Mali, aucun cas de la maladie n’a jusque là été enregistré, officiellement, sur le territoire national, qui partage une frontière commune avec la Guinée frappée par l’épidémie. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), cette semaine le cap de 4 000 décès a été dépassé dans les pays où l’épidémie s’est installée.
L’essai dit de « phase une » portera sur 40 personnes au Mali, âgées de 18 à 40 ans, toutes choisies parmi le personnel sanitaire chargé de s’occuper des cas suspects, mais aussi des personnes les plus exposées. En principe, avant la fin de l’année, on devrait savoir si les tests sont prometteurs, pour éventuellement déboucher sur la fabrication d’un vaccin efficace.
L’expérience en cours est notamment le fruit de la collaboration entre une université américaine et le gouvernement malien. Au Mali, aucun cas de la maladie n’a jusque là été enregistré, officiellement, sur le territoire national, qui partage une frontière commune avec la Guinée frappée par l’épidémie. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), cette semaine le cap de 4 000 décès a été dépassé dans les pays où l’épidémie s’est installée.