Lors du Forum international pour la paix et la sécurité, le ministre de la Defense n'a rien laisser filtrer de ses sentiment sur la libération de son compatriote Serge Lazarevic. Il a préféré mettre l'accent sur cette rencontre premier, du genre en Afrique.
Il soutient avoir retenu du forum de Dakar, des discours très forts qui ont été prononcés. Des discours de détermination, mais aussi la solidarité entre pays africains. C'est dans ce cadre que L'ancien président Nigérian Oluségun Obasanjo a souligné « que toute agression contre un pays Africain est une agression contre toute l'Afrique ». C'est un message fort dont la portée va au-delà du forum de Dakar, selon Jean Yves LeDrian.
Pour ce qui est de la libération de Serge Lazarevic, (le dernier otage Français dans le monde), en échange de djihadistes, le ministre a opté la voie du silence. « Comme ministre de la Défense, je n'ai jamais commenté des opérations de libération de nos otages. Ni avant, ni après et je me tiens à cette ligne aujourd'hui. Je le fais aussi pour la simple raison de Sécurité et d'opérabilité. Nous avons eu à un moment donné plus de 15 otages, nous n'en avons plus. Cette discrétion, c'est la condition de la réussite » informe Jean-Yves LeDrian.
Il soutient avoir retenu du forum de Dakar, des discours très forts qui ont été prononcés. Des discours de détermination, mais aussi la solidarité entre pays africains. C'est dans ce cadre que L'ancien président Nigérian Oluségun Obasanjo a souligné « que toute agression contre un pays Africain est une agression contre toute l'Afrique ». C'est un message fort dont la portée va au-delà du forum de Dakar, selon Jean Yves LeDrian.
Pour ce qui est de la libération de Serge Lazarevic, (le dernier otage Français dans le monde), en échange de djihadistes, le ministre a opté la voie du silence. « Comme ministre de la Défense, je n'ai jamais commenté des opérations de libération de nos otages. Ni avant, ni après et je me tiens à cette ligne aujourd'hui. Je le fais aussi pour la simple raison de Sécurité et d'opérabilité. Nous avons eu à un moment donné plus de 15 otages, nous n'en avons plus. Cette discrétion, c'est la condition de la réussite » informe Jean-Yves LeDrian.