Seulement avec la reprise de la production agricole, la croissance économique est estimée à 3,7 % en 2012 contre 2,6% en 2011, informe le communiqué du ministère de l’Economie et des finances. « En 2013, elle devrait s’établir à 4,3% à la faveur de la poursuite de l’exécution des grands projets dans les secteurs électriques et autoroutiers, de l’amélioration de la distribution d’énergie électrique, de la poursuite du redressement du secteur agricole, de la mise en œuvre du projet des minéraux lourds de la Grande Côte (zircon) et des projets de mines d’or de Golouma et Massawa, du démarrage des projets financés par le Millennium Challenge Account (MCA), ainsi que de l’exécution de projets dans les secteurs sociaux ».
Tout de même, l’économie étant encore liée à beaucoup de facteurs extérieurs, les résultats autour de l’inflation demeurent aléatoires. « L'inflation devrait être attendue autour de 1,5% en 2012 contre 3,4% en 2011, sous l’hypothèse d’une légère détente du cours du baril de pétrole mais également des cours des matières premières alimentaires de base ».
Les autorités ont promis des réformes nécessaires visant à améliorer le cadre macroéconomique et la fourniture d'infrastructures structurantes notamment énergétiques pour l’atteinte d’une croissance plus élevée, durable et solidaire.
Tout de même, l’économie étant encore liée à beaucoup de facteurs extérieurs, les résultats autour de l’inflation demeurent aléatoires. « L'inflation devrait être attendue autour de 1,5% en 2012 contre 3,4% en 2011, sous l’hypothèse d’une légère détente du cours du baril de pétrole mais également des cours des matières premières alimentaires de base ».
Les autorités ont promis des réformes nécessaires visant à améliorer le cadre macroéconomique et la fourniture d'infrastructures structurantes notamment énergétiques pour l’atteinte d’une croissance plus élevée, durable et solidaire.