Le Fonds monétaire international (FMI) a récemment publié ses perspectives économiques régionales pour l’Afrique subsaharienne. Selon ce rapport, le Sénégal devrait enregistrer une croissance impressionnante de 8,4 % en 2025, se positionnant ainsi parmi les économies les plus dynamiques du continent.
Cette performance exceptionnelle est portée par la montée en puissance de secteurs stratégiques, notamment les hydrocarbures, les infrastructures et les services. Elle est également soutenue par la poursuite des réformes économiques engagées par les autorités sénégalaises, qui visent à renforcer la stabilité macroéconomique et l’attractivité du pays pour les investisseurs.
Au sein de l’UEMOA, le Sénégal jouera un rôle moteur. Avec une croissance attendue de 8,4 % en 2025, contre 6,7 % en 2024, le pays contribuera significativement à la dynamique de la région. À titre de comparaison, la croissance du Niger devrait reculer de 10,3 % à 6,6 %, malgré des prévisions initiales plus optimistes. Suivent le Bénin (6,5 %), la Côte d’Ivoire (6,3 %), le Togo (5,5 %) et la Guinée-Bissau (5,1 %). Le Mali (4,9 %) et le Burkina Faso (4,3 %) ferment la marche. En zone Cemac, le Cameroun ferait mieux que plusieurs pays de l’UEMOA.
Avec une progression nettement supérieure à la moyenne régionale, rapporte la RTS, le Sénégal fait preuve d’une résilience remarquable face aux incertitudes économiques mondiales. À l’heure où l’Afrique subsaharienne fait face à de multiples défis, le pays s’impose comme un modèle de dynamisme, de stabilité et de réussite économique dans la région.
Cette performance exceptionnelle est portée par la montée en puissance de secteurs stratégiques, notamment les hydrocarbures, les infrastructures et les services. Elle est également soutenue par la poursuite des réformes économiques engagées par les autorités sénégalaises, qui visent à renforcer la stabilité macroéconomique et l’attractivité du pays pour les investisseurs.
Au sein de l’UEMOA, le Sénégal jouera un rôle moteur. Avec une croissance attendue de 8,4 % en 2025, contre 6,7 % en 2024, le pays contribuera significativement à la dynamique de la région. À titre de comparaison, la croissance du Niger devrait reculer de 10,3 % à 6,6 %, malgré des prévisions initiales plus optimistes. Suivent le Bénin (6,5 %), la Côte d’Ivoire (6,3 %), le Togo (5,5 %) et la Guinée-Bissau (5,1 %). Le Mali (4,9 %) et le Burkina Faso (4,3 %) ferment la marche. En zone Cemac, le Cameroun ferait mieux que plusieurs pays de l’UEMOA.
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