Le ministre de l'Economie des Finances du Sénégal, Abdoulaye Diop
Au plan intérieur, l’activité économique mesurée par l’Indice Général d’Activité (IGA), hors agriculture et administration, a enregistré une baisse de 2,8%, en variation mensuelle, essentiellement imputable aux contre-performances enregistrées au niveau du secteur
Tertiaire et, dans une moindre mesure, du sous secteur de l’élevage, malgré la hausse du secteur secondaire et du sous-secteur de la pêche.
En effet, explique la note mensuelle de la conjoncture, «au terme des cinq premiers mois de 2009, l’activité est ressortie en légère hausse de 0,4% par rapport à la même période de 2008, imputable au secteur tertiaire qui a progressé de 1,8%, compensant le repli de 2,3%, observé dans les activités du secondaire».
Elle souligne en outre que «les sous-secteurs de l’élevage et de la pêche ont également connu des baisses respectives de 5,1% et 10,4%. Cette faible hausse de l’IGA sur les cinq premiers mois pourrait compromettre les objectifs de croissance de 3,1% d’ici la fin de l’année».
«Les prix à la consommation ont enregistré, au mois de mai 2009, un repli de 0,9%, en variation mensuelle, tiré principalement par les prix des produits alimentaires qui ont baissé de 2,2%. Les prix des produits importés ont baissé de plus 2,4%, aussi bien en variation mensuelle qu’en glissement annuel dénotant une nette désinflation importée», rapporte, le rapport de la note de conjoncture de mai 2009.
S’agissant de la compétitivité-prix de l’économie sénégalaise, elle a été quasiment stable en mai 2009 relativement au mois précédent. Cette situation a été induite par l’appréciation du franc CFA de 1,2%, vis-à-vis de la monnaie des pays partenaires, compensée par un différentiel d’inflation favorable du même ordre. En revanche, en glissement annuel, l’économie sénégalaise a enregistré des gains de compétitivité estimés à 0,3% au mois de mai et de 0,9%, en moyenne sur les cinq premiers mois.
Toutefois, la direction de la prévision et des études économique (DPEE) déclare que «cette dégradation progressive de la conjoncture internationale est principalement liée aux premières conséquences de la crise financière internationale et à l’ampleur des précédents chocs sur les prix de l’ensemble des matières premières, au premier rang desquelles le pétrole ».
Tertiaire et, dans une moindre mesure, du sous secteur de l’élevage, malgré la hausse du secteur secondaire et du sous-secteur de la pêche.
En effet, explique la note mensuelle de la conjoncture, «au terme des cinq premiers mois de 2009, l’activité est ressortie en légère hausse de 0,4% par rapport à la même période de 2008, imputable au secteur tertiaire qui a progressé de 1,8%, compensant le repli de 2,3%, observé dans les activités du secondaire».
Elle souligne en outre que «les sous-secteurs de l’élevage et de la pêche ont également connu des baisses respectives de 5,1% et 10,4%. Cette faible hausse de l’IGA sur les cinq premiers mois pourrait compromettre les objectifs de croissance de 3,1% d’ici la fin de l’année».
«Les prix à la consommation ont enregistré, au mois de mai 2009, un repli de 0,9%, en variation mensuelle, tiré principalement par les prix des produits alimentaires qui ont baissé de 2,2%. Les prix des produits importés ont baissé de plus 2,4%, aussi bien en variation mensuelle qu’en glissement annuel dénotant une nette désinflation importée», rapporte, le rapport de la note de conjoncture de mai 2009.
S’agissant de la compétitivité-prix de l’économie sénégalaise, elle a été quasiment stable en mai 2009 relativement au mois précédent. Cette situation a été induite par l’appréciation du franc CFA de 1,2%, vis-à-vis de la monnaie des pays partenaires, compensée par un différentiel d’inflation favorable du même ordre. En revanche, en glissement annuel, l’économie sénégalaise a enregistré des gains de compétitivité estimés à 0,3% au mois de mai et de 0,9%, en moyenne sur les cinq premiers mois.
Toutefois, la direction de la prévision et des études économique (DPEE) déclare que «cette dégradation progressive de la conjoncture internationale est principalement liée aux premières conséquences de la crise financière internationale et à l’ampleur des précédents chocs sur les prix de l’ensemble des matières premières, au premier rang desquelles le pétrole ».
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