Restaurer l’hydraulicité des lacs et des écosystèmes humides de Dakar est la grande ambition de l’Office des Lacs et des Cours d’Eau (OLAC). Cette initiative vise à améliorer significativement le cadre de vie des populations, selon sa directrice générale, Diarra Sow.
« Nous avons l’intention et l’objectif de restaurer l’hydraulicité de ces lacs et des écosystèmes humides pour favoriser le bien-être et améliorer le cadre de vie des habitants », a-t-elle déclaré lors d’une rencontre avec les notables du quartier des Maristes, dans la commune de Hann Bel-Air, à Dakar.
Les services de l’OLAC ont réalisé une pré-étude pour évaluer la situation des lacs à Dakar. Sur cette base, une stratégie d’aménagement sera mise en place pour restaurer l’hydraulicité de la capitale et du pays.
« L’OLAC a l’obligation de restaurer ces lacs, qui constituent l’un des poumons verts de Dakar », a-t-elle réitéré, ajoutant que son établissement a développé un projet d’aménagement et de gestion des lacs urbains. Mme Sow a également indiqué que cette visite aux Maristes avait pour but de recueillir des informations directement auprès des populations, avec le soutien de spécialistes.
Cheikh Tidiane Athie, l’un des notables du quartier, a souligné que « le problème du lac des Maristes demeure très sérieux ». Selon lui, les résidents ne veulent plus de discours, mais attendent des « actes concrets » pour résoudre leurs problèmes. « Nous avons besoin de beaucoup plus d’actes que de déclarations. Comment faire pour qu’il y ait concrètement une issue ? C’est un plaidoyer très fort que nous faisons pour vous dire que nous voulons que les choses changent », a-t-il ajouté.
Les habitants ont également dénoncé la présence d’agriculteurs, de mécaniciens et d’habitations anarchiques autour du lac des Maristes, qui ont contribué à sa détérioration, laissant le site dans « un total abandon ».
Aliou Diakhaté, délégué de quartier, a rappelé que dans la lutte mondiale contre le dérèglement climatique, les zones humides doivent être préservées. « Si, par malheur, elles sont négligées, les populations seront les premières à en subir les conséquences », a-t-il averti dans les colonnes de l’Agence de Presse Sénégalaise (APS).
« Nous avons l’intention et l’objectif de restaurer l’hydraulicité de ces lacs et des écosystèmes humides pour favoriser le bien-être et améliorer le cadre de vie des habitants », a-t-elle déclaré lors d’une rencontre avec les notables du quartier des Maristes, dans la commune de Hann Bel-Air, à Dakar.
Les services de l’OLAC ont réalisé une pré-étude pour évaluer la situation des lacs à Dakar. Sur cette base, une stratégie d’aménagement sera mise en place pour restaurer l’hydraulicité de la capitale et du pays.
« L’OLAC a l’obligation de restaurer ces lacs, qui constituent l’un des poumons verts de Dakar », a-t-elle réitéré, ajoutant que son établissement a développé un projet d’aménagement et de gestion des lacs urbains. Mme Sow a également indiqué que cette visite aux Maristes avait pour but de recueillir des informations directement auprès des populations, avec le soutien de spécialistes.
Cheikh Tidiane Athie, l’un des notables du quartier, a souligné que « le problème du lac des Maristes demeure très sérieux ». Selon lui, les résidents ne veulent plus de discours, mais attendent des « actes concrets » pour résoudre leurs problèmes. « Nous avons besoin de beaucoup plus d’actes que de déclarations. Comment faire pour qu’il y ait concrètement une issue ? C’est un plaidoyer très fort que nous faisons pour vous dire que nous voulons que les choses changent », a-t-il ajouté.
Les habitants ont également dénoncé la présence d’agriculteurs, de mécaniciens et d’habitations anarchiques autour du lac des Maristes, qui ont contribué à sa détérioration, laissant le site dans « un total abandon ».
Aliou Diakhaté, délégué de quartier, a rappelé que dans la lutte mondiale contre le dérèglement climatique, les zones humides doivent être préservées. « Si, par malheur, elles sont négligées, les populations seront les premières à en subir les conséquences », a-t-il averti dans les colonnes de l’Agence de Presse Sénégalaise (APS).