Avant d’éclairer les tenants de deux autres possibles alternatifs qui consisteront en trois ministères avec secrétariats d’Etat et une instance de coordination ou l’existence de ministères séparés mais coordonnés par une administration commune avec un secrétariat général unique, dans le journal «Le Quotidien».
Notre système d’enseignement supérieur et de recherche pris «en otage des desiderata du secteur privé», le secrétaire général du Sudes, Cheikhou Sylla veut l’application «sans délai» de la directive de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) qui incite les «meilleurs bacheliers de l’espace communautaire à venir poursuivre leurs études supérieures dans notre pays».
S’intéressant toujours aux bacheliers, le Sudes qui invoque la politique défectueuse d’orientation de ces derniers à l’université, propose le lancement d’un programme spécial de mise à disposition de 600 enseignants à l’horizon 2017 pour un coût global de cinq (5) milliards.