Lors de l’atelier national de partage des résultats de l’évaluation du projet de renforcement des capacités locales pour la promotion de la petite enfance (PROCAPE) de Plan Sénégal, M. Yao est revenu sur le rapport 2007 initié par UNESCO qui mettait l’accent sur l’éducation de la petite enfance. Il a ainsi souligné que : « l’objectif que certains Etats s’était fixé une (éducation pour tous) ne sera pas atteint en 2015 et ainsi les objectifs du millénaire pour le développement (OMD) seront compromis ».
A l’entendre une des causes de ce retard est l’instabilité institutionnelle qui prévaut et l’absence de politique sectorielle clairement définie, partagée et validée.
Cependant selon le rapport, malgré le dispositif politique existant, la situation du sous- secteur reste encore aujourd’hui caractérisée par : un taux de préscolarisation encore faible, même s’il a sensiblement évolué entre 2000 (3%) et aujourd’hui (environ 9%).
Toutefois l’éducation préscolaire reste encore très peu accessible aux enfants issus des couches défavorisées. Les enfants du monde rural sont encore peu présents dans ces types de structures mises à part les initiatives communautaires appuyées pour la plupart par des ONG.
Au plan sanitaire et nutritionnel les droits des enfants ne sont pas encore suffisamment couverts ce qui a pour conséquences, l’apparition de maladies entrainant des retards du développement psychomoteur.
En somme c’est la cible 0-3 ans qui ne bénéficie pas encore de programmes holistiques spécifiques prenant en charge toutes les dimensions du développement de l’enfant durant cette période. Ainsi la ministre d’Etat ministre de la famille Mme Ndéye Khady Diop a fait savoir que : « ce programme vise à améliorer les conditions de vie des enfants à travers la prise en charge communautaire ».
A l’entendre une des causes de ce retard est l’instabilité institutionnelle qui prévaut et l’absence de politique sectorielle clairement définie, partagée et validée.
Cependant selon le rapport, malgré le dispositif politique existant, la situation du sous- secteur reste encore aujourd’hui caractérisée par : un taux de préscolarisation encore faible, même s’il a sensiblement évolué entre 2000 (3%) et aujourd’hui (environ 9%).
Toutefois l’éducation préscolaire reste encore très peu accessible aux enfants issus des couches défavorisées. Les enfants du monde rural sont encore peu présents dans ces types de structures mises à part les initiatives communautaires appuyées pour la plupart par des ONG.
Au plan sanitaire et nutritionnel les droits des enfants ne sont pas encore suffisamment couverts ce qui a pour conséquences, l’apparition de maladies entrainant des retards du développement psychomoteur.
En somme c’est la cible 0-3 ans qui ne bénéficie pas encore de programmes holistiques spécifiques prenant en charge toutes les dimensions du développement de l’enfant durant cette période. Ainsi la ministre d’Etat ministre de la famille Mme Ndéye Khady Diop a fait savoir que : « ce programme vise à améliorer les conditions de vie des enfants à travers la prise en charge communautaire ».