Les jeunes à l'avant garde de la lutte contre les IST
Selon Barbara Zalduondo, le niveau d’exposition des jeunes filles est trois à six fois plus élevé que celui des garçons. Les causes sont d’ordre biologique et social. «Sur le plan biologique, le vagin constitue un réceptacle et la muqueuse vaginale est faible», a-t-elle indiqué. Cependant, a ajouté l’experte d’ONU-Sida, les causes psycho sociales sont plus importantes d’autant plus dans certaines cultures africaines, les jeunes filles font montre d’une ignorance totale au sujet de la sexualité. Ces filles sont tenues de respecter leurs aînés au point qu’elles émettent beaucoup de réserve quant à l’utilisation du préservatif ou de décliner le désir de leurs conjoints.
De l’avis de Barbara Zalduondo, elles ont le droit à l’information au même titre que les jeunes hommes. Partant du point de vue selon lequel, personne ne devrait, selon elle, avoir peur de chercher des informations et des services qui lui sont d’un grand apport pour sa survie. Il relève de leur (Onusida) ressort de renforcer les connaissances des jeunes filles, de créer des espaces sécurisants afin que le respect mutuel règne entre elles et les jeunes garçons.
Loin de nier les difficultés auxquelles elle fait face, Mme Barbara a révélé avoir rencontré des poches de résistance pas seulement en Afrique. « A l’image de toute autre activité de sensibilisation, je n’ai pas encore rencontré de communautés où les parents n’ont pas la compréhension de parler de la sexualité qui permet une bonne éducation à la sexualité, c’est le cas aux Etats Unis en Europe et les pays d’Afrique. C’est toujours difficile de leur montrer avec les données scientifiques. Et pourtant, l’accès à l’information et aux services réduit les cas de grossesses indésirées. Les autres difficultés sont plus liées à la pratique d’autant plus que ce sont des adultes qui élaborent des programmes destinés aux jeunes sans pour autant se concerter avec eux».
Pour palier à ce problème, le mouvement social développe un principe contre le Vih/sida « rien pour nous et sans nous ». Ainsi des programmes d’interactions sont crées pour les jeunes à travers les écoles en vue d’une implication plus efficiente à la lutte contre le Sida.
De l’avis de Barbara Zalduondo, elles ont le droit à l’information au même titre que les jeunes hommes. Partant du point de vue selon lequel, personne ne devrait, selon elle, avoir peur de chercher des informations et des services qui lui sont d’un grand apport pour sa survie. Il relève de leur (Onusida) ressort de renforcer les connaissances des jeunes filles, de créer des espaces sécurisants afin que le respect mutuel règne entre elles et les jeunes garçons.
Loin de nier les difficultés auxquelles elle fait face, Mme Barbara a révélé avoir rencontré des poches de résistance pas seulement en Afrique. « A l’image de toute autre activité de sensibilisation, je n’ai pas encore rencontré de communautés où les parents n’ont pas la compréhension de parler de la sexualité qui permet une bonne éducation à la sexualité, c’est le cas aux Etats Unis en Europe et les pays d’Afrique. C’est toujours difficile de leur montrer avec les données scientifiques. Et pourtant, l’accès à l’information et aux services réduit les cas de grossesses indésirées. Les autres difficultés sont plus liées à la pratique d’autant plus que ce sont des adultes qui élaborent des programmes destinés aux jeunes sans pour autant se concerter avec eux».
Pour palier à ce problème, le mouvement social développe un principe contre le Vih/sida « rien pour nous et sans nous ». Ainsi des programmes d’interactions sont crées pour les jeunes à travers les écoles en vue d’une implication plus efficiente à la lutte contre le Sida.