En répondant aux besoins et aux conditions d’existence des femmes des pays émergents, l’enseignement numérique promeut l’égalité et fournit des moyens de faire face aux problèmes de développement et aux défis humanitaires, comme le souligne le rapport Gros plan sur l’égalité des sexes de l’ONU. C’est particulièrement le cas quand l’éducation débouche sur un emploi. Car la réduction des disparités entre les sexes dans la population active peut mener à une augmentation du PIB de 35 % en moyenne.
« Le passage au numérique redéfinit l’éducation et l’emploi pour tous les apprenants, en particulier dans le contexte de l’après-pandémie, note Makhtar Diop, directeur général d’IFC (société internationale financière). Pour les femmes, l’enseignement en ligne est un facteur de développement économique, un moyen d’avancer vers l’égalité et d’acquérir de la résilience face à des conditions économiques en rapide mutation. »
Une nouvelle étude d’IFC menée en partenariat avec Coursera et la Commission européenne montre que l’enseignement en ligne est particulièrement utile pour les femmes des pays émergents. « Ce type d’enseignement leur permet de trouver des formations qui ne sont pas proposées près de chez elles », ont conclu les experts.
« Le passage au numérique redéfinit l’éducation et l’emploi pour tous les apprenants, en particulier dans le contexte de l’après-pandémie, note Makhtar Diop, directeur général d’IFC (société internationale financière). Pour les femmes, l’enseignement en ligne est un facteur de développement économique, un moyen d’avancer vers l’égalité et d’acquérir de la résilience face à des conditions économiques en rapide mutation. »
Une nouvelle étude d’IFC menée en partenariat avec Coursera et la Commission européenne montre que l’enseignement en ligne est particulièrement utile pour les femmes des pays émergents. « Ce type d’enseignement leur permet de trouver des formations qui ne sont pas proposées près de chez elles », ont conclu les experts.
Autres articles
-
Financement : l’État du Sénégal lève 364 milliards FCFA lors de son deuxième appel public à l’épargne de 2025
-
Nouvelle dégradation de la note du Sénégal par S&P : B- et perspective négative
-
Marché des titres publics : le Sénégal mobilise 352,3 milliards FCFA au premier trimestre 2025 (DPEE)
-
Dette publique : l’État du Sénégal clarifie la situation et rassure les marchés
-
Financement du développement : le Président Diomaye Faye appelle à une réforme urgente de la gouvernance économique mondiale