Le ministère de la Communication des Télécommunications, des Postes et de l’Économie Numérique est entré à sa phase pilote du Projet de promotion de l’éducation numérique, qui bénéficie aux 14 régions du pays. Pour réaliser ce projet, l'Etat à financé 300 millions de F CFA. L’ensemble du système éducatif a été touché, selon les services dudit ministère. Allant du préscolaire à l’enseignement secondaire en passant par l’élémentaire, le moyen, l’alphabétisation et la formation professionnelle.
Selon Yoro Moussa Diallo, secrétaire général du ministère de la Communication des Télécommunications, qui représentait le ministre Abdoulaye Bibi Baldé, « l’élargissement de l’accès, la recherche de la qualité et la réalisation de l’équité et de l’égalité demeurent encore pour le Sénégal une préoccupation forte dans l’élaboration de l’offre éducative. C’est ainsi que la Stratégie Sénégal numérique 2025 se propose, dans son axe 4, de réaliser la diffusion du numérique dans les secteurs prioritaires parmi lesquels le secteur de l’éducation avec comme objectifs de soutenir les programmes d’alphabétisation des adultes, la modernisation de la gestion des établissements d’enseignement et la formation du personnel éducatif au numérique ».
Selon M. Diallo, « cela va permettre l'accès aux contenus éducatifs en ligne, mais également de proposer, aux élèves et enseignants, particulièrement des zones desservies, une large gamme de ressources numériques pédagogiques permettant de renforcer les performances et rendements scolaires ».
Poursuivant sa déclaration, il a souligné que « des critères de sélection objectifs et rigoureux avaient été définis et les différents acteurs concernés ont été associés aux différents processus de sélection. L’évaluation de la phase pilote de ce projet, prévue en fin 2018, sera pour les acteurs que nous sommes l’occasion de faire le bilan exhaustif du projet et d’envisager sa poursuite et son extension ».
Yoro Moussa Diallo a aussi rappelé que la finalité sera de doter le Sénégal d’un modèle d’enseignement alternatif adossé sur le numérique qui puisse : garantir la continuité et la permanence des enseignements/apprentissages quelles que soient les contingences, les aléas et contraintes du système éducatif, assurer la disponibilité des ressources humaines sur l’ensemble du territoire en comblant systématiquement le manque d’enseignants souvent relevé, etc. ».
Selon Yoro Moussa Diallo, secrétaire général du ministère de la Communication des Télécommunications, qui représentait le ministre Abdoulaye Bibi Baldé, « l’élargissement de l’accès, la recherche de la qualité et la réalisation de l’équité et de l’égalité demeurent encore pour le Sénégal une préoccupation forte dans l’élaboration de l’offre éducative. C’est ainsi que la Stratégie Sénégal numérique 2025 se propose, dans son axe 4, de réaliser la diffusion du numérique dans les secteurs prioritaires parmi lesquels le secteur de l’éducation avec comme objectifs de soutenir les programmes d’alphabétisation des adultes, la modernisation de la gestion des établissements d’enseignement et la formation du personnel éducatif au numérique ».
Selon M. Diallo, « cela va permettre l'accès aux contenus éducatifs en ligne, mais également de proposer, aux élèves et enseignants, particulièrement des zones desservies, une large gamme de ressources numériques pédagogiques permettant de renforcer les performances et rendements scolaires ».
Poursuivant sa déclaration, il a souligné que « des critères de sélection objectifs et rigoureux avaient été définis et les différents acteurs concernés ont été associés aux différents processus de sélection. L’évaluation de la phase pilote de ce projet, prévue en fin 2018, sera pour les acteurs que nous sommes l’occasion de faire le bilan exhaustif du projet et d’envisager sa poursuite et son extension ».
Yoro Moussa Diallo a aussi rappelé que la finalité sera de doter le Sénégal d’un modèle d’enseignement alternatif adossé sur le numérique qui puisse : garantir la continuité et la permanence des enseignements/apprentissages quelles que soient les contingences, les aléas et contraintes du système éducatif, assurer la disponibilité des ressources humaines sur l’ensemble du territoire en comblant systématiquement le manque d’enseignants souvent relevé, etc. ».