« S’il ne s’agissait que de moi, je l’aurais fait ! Je suis en train de faire le plaidoyer », a confié la ministre de la Santé 10 ans après sa première nomination à ce poste. Toutefois, dans un entretien accordé au journal "Le quotidien", Dr Eva Marie Coll Seck se dit « convaincue » que « mettre 800 millions par an dans le budget du ministère de la Santé pour éponger la dette, c’est comme mettre des gouttes d’eau dans la mer ».
Le problème de la dette qui perdure depuis trois ou quatre ans en dépit de l’argent injecté par le nouveau régime, reste entier. Un mal que le professeur titulaire des Universités diagnostique dans le manque d’équilibre au plan financier des hôpitaux. « L’une des solutions, c’est vraiment d’éponger cette dette et de mettre une rigueur dans les structures », réitère la ministre de la Santé.
Le problème de la dette qui perdure depuis trois ou quatre ans en dépit de l’argent injecté par le nouveau régime, reste entier. Un mal que le professeur titulaire des Universités diagnostique dans le manque d’équilibre au plan financier des hôpitaux. « L’une des solutions, c’est vraiment d’éponger cette dette et de mettre une rigueur dans les structures », réitère la ministre de la Santé.