Cela fait quatre jours que les accrochages ont lieu dans la nuit et à l’aube entre les manifestants occupant la place Abbassiyah et des personnes venant du quartier du même nom. Un quartier où ont été régulièrement organisées des manifestations favorables au Conseil supérieur des forces armées.
Celui-là même dont les manifestants demandent le départ immédiat. Ce mercredi 2 mai les accrochages ont été beaucoup plus violents que les jours précédents. Selon des témoins, les deux parties ont fait usage d’armes à feu.
Les manifestations autour du ministère de la Défense avaient commencé avec les partisans du cheikh Hazem Abou Ismaïl, exclu de l'élection présidentielle. Ils ont été rejoints ces derniers jours par des mouvements contestataires laïcs.
Toutefois, la majorité des forces politiques - Frères musulmans, salafistes et partis laïcs – n’a pas participé à ces manifestations. Mais l’armée doit faire face à un bras de fer politique avec les Frères musulmans qui ont suspendu les séances du Parlement en attendant le limogeage du gouvernement par les militaires.
RFI
Celui-là même dont les manifestants demandent le départ immédiat. Ce mercredi 2 mai les accrochages ont été beaucoup plus violents que les jours précédents. Selon des témoins, les deux parties ont fait usage d’armes à feu.
Les manifestations autour du ministère de la Défense avaient commencé avec les partisans du cheikh Hazem Abou Ismaïl, exclu de l'élection présidentielle. Ils ont été rejoints ces derniers jours par des mouvements contestataires laïcs.
Toutefois, la majorité des forces politiques - Frères musulmans, salafistes et partis laïcs – n’a pas participé à ces manifestations. Mais l’armée doit faire face à un bras de fer politique avec les Frères musulmans qui ont suspendu les séances du Parlement en attendant le limogeage du gouvernement par les militaires.
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