Le malheureux candidat à la succession d’Abdou Diouf, réagit. Jean Claude de l’Estrac dit « prendre acte de la désignation du nouveau secrétaire général de la Francophonie ». Il se félicite par ailleurs que « le nouveau secrétaire général se soit approprié ses réflexions et ses propositions pour la Francophonie de demain, notamment en matière économique ». Mais Jean Claude de l’Estrac rappelle que «c’est dans l’espace africain que se joue une part significative de la croissance mondiale, des enjeux de diversité et de l’avenir de la langue française ».
Pour lui, «Il est donc d’autant plus regrettable que l’Afrique n’ait pas été en mesure de s’accorder, à Dakar, autour de la candidature de Maurice après le retrait inexpliqué de celles du Congo, du Burundi et de la Guinée équatoriale ». Du coup, il déplore que «l’option d’un vote ouvert, démocratique et transparent conforme aux valeurs et à la charte de l’organisation n’ait pas été prise en considération. L’Afrique est désormais privée de la direction de toute organisation multilatérale ». Dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, fidèle à ses convictions, Jean Claude de l’Estrac espère que le nouveau secrétaire général assurera la concrétisation des chantiers économiques de la Francophonie.
Pour lui, «Il est donc d’autant plus regrettable que l’Afrique n’ait pas été en mesure de s’accorder, à Dakar, autour de la candidature de Maurice après le retrait inexpliqué de celles du Congo, du Burundi et de la Guinée équatoriale ». Du coup, il déplore que «l’option d’un vote ouvert, démocratique et transparent conforme aux valeurs et à la charte de l’organisation n’ait pas été prise en considération. L’Afrique est désormais privée de la direction de toute organisation multilatérale ». Dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, fidèle à ses convictions, Jean Claude de l’Estrac espère que le nouveau secrétaire général assurera la concrétisation des chantiers économiques de la Francophonie.