Pendant que l’opposition et autres analystes politiques spéculent sur la faisabilité de la tenue de l’élection présidentielle. L’avocat me Bourgi, lui émet des soutes sur cette possibilité. Selon l’avocat, il serait difficile de tenir l’élection dans cette fourchette de temps. « Je ne m’imagine pas que l’élection puisse se tenir avant les mois de mai ou juin », a déclaré en substance Me Bourgi dans les colonnes de L’Observateur.
L’avocat parle d’un vide politique à partir du moment où le président respecterait la décision du Conseil constitutionnel en quittant le 2 avril prochain ses fonctions de président. « Il s’en ira, quand même la date des élections ne serait pas arrêtée et que l’élection présidentielle n’ait pas lieu », a de plus ajouté Me Bourgi.
Toujours est-il que l’avocat reste optimiste quant à la suite des évènements. « Je ne serais pas étonné qu’il s’adresse à la Nation pour lui annoncer son irrévocable départ du pouvoir le 2 avril au terme de son mandat. Il n’aura fait que respecter à la lettre le texte constitutionnel. Il reviendrait alors au Conseil constitutionnel d’organiser et gérer la suite. Ce serait son devoir », a conclu l’avocat.
L’avocat parle d’un vide politique à partir du moment où le président respecterait la décision du Conseil constitutionnel en quittant le 2 avril prochain ses fonctions de président. « Il s’en ira, quand même la date des élections ne serait pas arrêtée et que l’élection présidentielle n’ait pas lieu », a de plus ajouté Me Bourgi.
Toujours est-il que l’avocat reste optimiste quant à la suite des évènements. « Je ne serais pas étonné qu’il s’adresse à la Nation pour lui annoncer son irrévocable départ du pouvoir le 2 avril au terme de son mandat. Il n’aura fait que respecter à la lettre le texte constitutionnel. Il reviendrait alors au Conseil constitutionnel d’organiser et gérer la suite. Ce serait son devoir », a conclu l’avocat.
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