« Nous devons nous mobiliser pour mettre à nu toutes les tentatives de perturbation du processus électoral, source de contestations et de conflits dont les conséquences seraient incalculables pour notre pays », prévient cette structure mise en place par l’opposition et des mouvements citoyens en vue des élections générales de 2012.
Les couacs soulevés sont nombreux et de plusieurs ordres, « locaux non fonctionnels, matériels nécessaires ne sont pas mis en place à temps, aucune publicité de l’opération, absence des partis politiques dans les commissions de révision etc... ».
« Il a été également noté que toutes les conditions d’inscription sur les listes ne sont pas toujours respectées : présence effective de la personne, présentation d’une carte d’identité numérisée et d’un certificat de résidence. De ce fait, il y’a une porte ouverte à des abus de toutes sortes et des opérations frauduleuses comme l’inscription de non résidents, surtout dans les zones frontalières ou enclavées ».
Clarté revient encore sur le problème de la délivrance de la Carte Nationale d’Identité (C.N.I), ajoutant que « ceci est indéniablement un facteur défavorable qui pénalise particulièrement les jeunes en âge de voter ». Pis, « dans certaines localités il a été constaté que des cartes d’identité ont été délivrées à des étrangers et dans d’autres cas délivrées plusieurs fois à des mêmes personnes ».
Pour les projets de découpage administratif et territorial, Clarté accuse le pouvoir qui cherche « un saucissonnant des localités notamment celles qui sont gagnées par l’opposition, en vue d’y installer des délégations spéciales. Ces délégations seront sous le contrôle du Ministère de l’intérieur, chargé d’organiser les élections, ministère qui est en même temps géré par un militant du PDS ».
Pour la mise en place du comité de veille, institué par Décret présidentiel, chargé de contrôler l’application des recommandations à la fin de l’audit du fichier Clarté constate que « ce comité peine encore à être fonctionnel par la faute de la mouvance présidentielle qui est seule à refuser le choix de son Président accepté par toutes les autres coalitions de partis et par la société civile. Ce refus cache une volonté de se soustraire à l’exigence de l’application des recommandations de l’audit du fichier électoral. Nous dénonçons cette attitude suspecte qui ne concoure pas à apaiser les esprits et à restaurer la confiance ».
Les couacs soulevés sont nombreux et de plusieurs ordres, « locaux non fonctionnels, matériels nécessaires ne sont pas mis en place à temps, aucune publicité de l’opération, absence des partis politiques dans les commissions de révision etc... ».
« Il a été également noté que toutes les conditions d’inscription sur les listes ne sont pas toujours respectées : présence effective de la personne, présentation d’une carte d’identité numérisée et d’un certificat de résidence. De ce fait, il y’a une porte ouverte à des abus de toutes sortes et des opérations frauduleuses comme l’inscription de non résidents, surtout dans les zones frontalières ou enclavées ».
Clarté revient encore sur le problème de la délivrance de la Carte Nationale d’Identité (C.N.I), ajoutant que « ceci est indéniablement un facteur défavorable qui pénalise particulièrement les jeunes en âge de voter ». Pis, « dans certaines localités il a été constaté que des cartes d’identité ont été délivrées à des étrangers et dans d’autres cas délivrées plusieurs fois à des mêmes personnes ».
Pour les projets de découpage administratif et territorial, Clarté accuse le pouvoir qui cherche « un saucissonnant des localités notamment celles qui sont gagnées par l’opposition, en vue d’y installer des délégations spéciales. Ces délégations seront sous le contrôle du Ministère de l’intérieur, chargé d’organiser les élections, ministère qui est en même temps géré par un militant du PDS ».
Pour la mise en place du comité de veille, institué par Décret présidentiel, chargé de contrôler l’application des recommandations à la fin de l’audit du fichier Clarté constate que « ce comité peine encore à être fonctionnel par la faute de la mouvance présidentielle qui est seule à refuser le choix de son Président accepté par toutes les autres coalitions de partis et par la société civile. Ce refus cache une volonté de se soustraire à l’exigence de l’application des recommandations de l’audit du fichier électoral. Nous dénonçons cette attitude suspecte qui ne concoure pas à apaiser les esprits et à restaurer la confiance ».
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