Au revoir la Présidentielle ! Bonjour les Législatives ! Depuis la défaite d’Abdoulaye Wade au second tour de l’élection présidentielle du 25 mars dernier, la classe politique sénégalaise est en ébullition. Surtout en perspective des élections législatives du 1er juillet prochain.
L’ex président de la République refuse d’être enterré vivant et tient à faire partie des décideurs du pays sous l’ère Macky Sall. Toutefois, il n’entend pas le faire dans le cadre d’une coalition. Le pape du Sopi a clairement notifié à ses alliés d’hier, l’acte de leur divorce.
Une rupture douloureusement ressentie par certains. Mame Matar Guèye, porte-parole de la Convergence des actions autour du président de la République pour le 21e siècle (Cap 21) est monté au créneau pour déplorer «l’inélégance» dont Wade a fait preuve.
Quant à la Cap 21, elle s’est muée en Coalition des alliés du peuple, soulignent ses membres dans un communiqué, afin de relever les défis du 21ème siècle, avec pour objectif immédiat de se présenter aux législatives du 1er juillet prochain. Leur devise : «ngor-jom-mun».
Selon certaines sources, une autre coalition sous la conduite d’Abdourahim Agne ne devrait pas tarder à voir le jour. L’objectif visé ici est de capter tous les frustrés du régime wadien.
Une réunion est prévue dans ce sens ce samedi et une conférence de presse n’est pas exclue pour mardi prochain, confie un membre du Parti de la Réforme, qui a cité entre autres hommes politiques devant figurer en bonne place dans cette coalition, Abdoulaye Racine Kane, Doudou Sarr, le secrétaire général du Front national, Aly Guèye, Gora Khouma etc.
Du côté de l’Alliance pour la République du président Macky Sall, les tractations vont également bon train. La massification du parti est entamée pour donner au 4ème Président de la République, une majorité à l’Assemblée nationale. Une alliance avec l’AFP de Moustapha Niasse n’est d’ailleurs pas exclue.
Au niveau du Parti socialiste, l’urgence est de cesser les querelles nées à la suite des choix portés sur Aminata Mbengue Ndiaye, Sérigne Mbaye Thiam et Ali Haïdar, pour siéger dans le gouvernement d’Abdoul Mbaye.
Autre coalition en vue, c’est celle devant être mise sur pied par la Convergence pour le renouveau et la citoyenneté (Crc) de Aliou Dia. Quid du Rewmi de Idrissa Seck ? L’ancien premier ministre ne devrait pas tarder à briser le silence.
Autant dire que la chasse aux 120 sièges, sera rudement menée.
Dépêche – Sud Quotidien
L’ex président de la République refuse d’être enterré vivant et tient à faire partie des décideurs du pays sous l’ère Macky Sall. Toutefois, il n’entend pas le faire dans le cadre d’une coalition. Le pape du Sopi a clairement notifié à ses alliés d’hier, l’acte de leur divorce.
Une rupture douloureusement ressentie par certains. Mame Matar Guèye, porte-parole de la Convergence des actions autour du président de la République pour le 21e siècle (Cap 21) est monté au créneau pour déplorer «l’inélégance» dont Wade a fait preuve.
Quant à la Cap 21, elle s’est muée en Coalition des alliés du peuple, soulignent ses membres dans un communiqué, afin de relever les défis du 21ème siècle, avec pour objectif immédiat de se présenter aux législatives du 1er juillet prochain. Leur devise : «ngor-jom-mun».
Selon certaines sources, une autre coalition sous la conduite d’Abdourahim Agne ne devrait pas tarder à voir le jour. L’objectif visé ici est de capter tous les frustrés du régime wadien.
Une réunion est prévue dans ce sens ce samedi et une conférence de presse n’est pas exclue pour mardi prochain, confie un membre du Parti de la Réforme, qui a cité entre autres hommes politiques devant figurer en bonne place dans cette coalition, Abdoulaye Racine Kane, Doudou Sarr, le secrétaire général du Front national, Aly Guèye, Gora Khouma etc.
Du côté de l’Alliance pour la République du président Macky Sall, les tractations vont également bon train. La massification du parti est entamée pour donner au 4ème Président de la République, une majorité à l’Assemblée nationale. Une alliance avec l’AFP de Moustapha Niasse n’est d’ailleurs pas exclue.
Au niveau du Parti socialiste, l’urgence est de cesser les querelles nées à la suite des choix portés sur Aminata Mbengue Ndiaye, Sérigne Mbaye Thiam et Ali Haïdar, pour siéger dans le gouvernement d’Abdoul Mbaye.
Autre coalition en vue, c’est celle devant être mise sur pied par la Convergence pour le renouveau et la citoyenneté (Crc) de Aliou Dia. Quid du Rewmi de Idrissa Seck ? L’ancien premier ministre ne devrait pas tarder à briser le silence.
Autant dire que la chasse aux 120 sièges, sera rudement menée.
Dépêche – Sud Quotidien