Fortement préoccupé par la situation du pays et se sentant interpelé par les menaces d’aggravation des crises sociales, culturelles, économiques et politiques, le groupe d’Initiatives Solidaires et Citoyennes (GISCI) s’est réuni ce matin pour rendre effective la candidature à la présidence de la République du professeur Ibrahima Fall. En effet, selon le GISCI, la perversion des valeurs socioculturelles, la crise du système éducatif et du système de santé, l’accaparement des ressources nationales par une minorité sont entres autres les principales préoccupations qui les ont poussé à unir leurs efforts et à se mobiliser pour élire en 2012 l’ancien doyen de la faculté des sciences juridiques et économiques Ibrahima Fall. Selon le coordonnateur du GISCI, le professeur Babacar Diop leur choix se justifie par le respect dont Ibrahima Fall jouit au Sénégal, en Afrique et dans le monde, son expérience en matière de bonne gouvernance, sa capacité à coordonner et impulser un travail d’équipe de patriotes compétents pour un bon cadrage institutionnel, démocratique et républicain, pour un développement économique, social et culturel du Sénégal.
Cependant quelques préoccupations ont été soulevées par certains participants en ce qui concerne sa popularité et le délai qui reste d’ici les prochaines échéances électorales. Selon Aliou Ndiaye venu assister à la rencontre le futur candidat devrait descendre sur le terrain pour qu’il soit connu des sénégalais, une litanie reprise par un bon nombre d’intervenants.
Par ailleurs, il a été souligné qu’un travail colossal reste à abattre vu le temps très court qui reste d’ici les élections de 2012. Des soucis qui n’ont pas laissé indifférents les initiateurs de cette journée de réflexion.
Cependant quelques préoccupations ont été soulevées par certains participants en ce qui concerne sa popularité et le délai qui reste d’ici les prochaines échéances électorales. Selon Aliou Ndiaye venu assister à la rencontre le futur candidat devrait descendre sur le terrain pour qu’il soit connu des sénégalais, une litanie reprise par un bon nombre d’intervenants.
Par ailleurs, il a été souligné qu’un travail colossal reste à abattre vu le temps très court qui reste d’ici les élections de 2012. Des soucis qui n’ont pas laissé indifférents les initiateurs de cette journée de réflexion.