L’augmentation des factures d’électricité annoncée le 16 juillet dernier par le ministre du budget, Abdoulaye Daouda Diallo ne se fera finalement pas. C’est du moins ce que garantit son collègue ministre des finances, Amadou Kane. En effet, réfutant toute idée relative à une hausse de l’électricité, l’invité de l’émission « Grand jury » de la RFM de ce dimanche préfère plutôt parler « d’accord qu’on a sur la mise en place d’actions graduelles visant à réduire les subvention ».
Une réduction graduelle qui semble par ailleurs urgente car « on paye 120 milliards de FCFA de subvention de l’électricité par an, soit 10 milliards de FCFA par mois », renseigne Amadou Kane qui remarque à cet effet que cette somme est supérieure au budget de la santé et n’est pas loin de celui de l’agriculture.
Néanmoins, indique l’ancien président directeur général de la Banque Internationale pour le Commerce et l’Industrie du Sénégal (BICIS), « Aly Ngouille Ndiaye travaille de façon concrète » sur différents points pour parvenir à cette réduction.
Le ministre du budget, Abdoulaye Daouda Diallo avait annoncé une augmentation des factures d’électricité en précisant que cette mesure n’engage pas les couches les plus défavorisées, mais uniquement les populations nanties. Une déclaration qui avait même suscité la rogne chez les ménages supposés riches.
Une réduction graduelle qui semble par ailleurs urgente car « on paye 120 milliards de FCFA de subvention de l’électricité par an, soit 10 milliards de FCFA par mois », renseigne Amadou Kane qui remarque à cet effet que cette somme est supérieure au budget de la santé et n’est pas loin de celui de l’agriculture.
Néanmoins, indique l’ancien président directeur général de la Banque Internationale pour le Commerce et l’Industrie du Sénégal (BICIS), « Aly Ngouille Ndiaye travaille de façon concrète » sur différents points pour parvenir à cette réduction.
Le ministre du budget, Abdoulaye Daouda Diallo avait annoncé une augmentation des factures d’électricité en précisant que cette mesure n’engage pas les couches les plus défavorisées, mais uniquement les populations nanties. Une déclaration qui avait même suscité la rogne chez les ménages supposés riches.