Lors de l'assemblée générale d'information du Syndicat national des professionnels de l'audiovisuel public (SYNPAP), le journaliste Elhadj Thierno Dramé n'a pas daigné défendre la direction de la RTS sur les supposées hausses des salaires des directeurs de la boîte. "Nous sommes des sénégalais comme tout le monde. Il faut le dire, depuis 2013, les salaires des agents de la RTS n'ont pas connu une hausse", a souligné Thierno Dramé.
Il poursuit : "En 2018, le président de la République Macky Sall avait demandé au directeur général de rehausser les salaires des directeurs de la RTS. Ce dernier n'a pas accepté car il voulait que tous les agents bénéficient de cette hausse. La direction générale et l'intersyndicale ont pu trouver un accord sur tous les aspects liés aux finances. Le seul point de désaccord est la clause de mobilité". Selon lui, le problème avec les agents mis au frigo ou écartés reste la clause de mobilité.
Le journaliste de la RTS explique : "en effet, avec la création d'autres stations radios et télévisions (RTS 2, 3, 4 et 5), il faudra qu'on ait des hommes qui y travaillent. Malheureusement des agents n'ont pas accepté d'être affectés dans ces régions. Ce qui n'a pas manqué de frustrer ceux qui étaient dans les régions, d'où la mise en place du SYNPAP". Il a confié que cette clause ne présente pas un souci pour le SYNPAP, dont il est membre, mais il l'est pour les autres syndicalistes du CNTS/Synpics, selon ses dires.
Il poursuit : "En 2018, le président de la République Macky Sall avait demandé au directeur général de rehausser les salaires des directeurs de la RTS. Ce dernier n'a pas accepté car il voulait que tous les agents bénéficient de cette hausse. La direction générale et l'intersyndicale ont pu trouver un accord sur tous les aspects liés aux finances. Le seul point de désaccord est la clause de mobilité". Selon lui, le problème avec les agents mis au frigo ou écartés reste la clause de mobilité.
Le journaliste de la RTS explique : "en effet, avec la création d'autres stations radios et télévisions (RTS 2, 3, 4 et 5), il faudra qu'on ait des hommes qui y travaillent. Malheureusement des agents n'ont pas accepté d'être affectés dans ces régions. Ce qui n'a pas manqué de frustrer ceux qui étaient dans les régions, d'où la mise en place du SYNPAP". Il a confié que cette clause ne présente pas un souci pour le SYNPAP, dont il est membre, mais il l'est pour les autres syndicalistes du CNTS/Synpics, selon ses dires.