Le Cadre Unitaire des Syndicats des Transports Routiers du Sénégal (C.U.S.T.R.S) s'indigne et condamne fermement la décision des dirigeants de la Communauté Economique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) de fermer les frontières aériennes et terrestres avec le Mali en vue de mettre le pays sous embargo. Il exige la réouverture des frontières pour toutes sortes de marchandises dans le plus bref délai.
Dans un communiqué parvenu à Pressafrik, le CUSTRS considère que la décision du Sénégal, État souverain et indépendant, de suivre à la lettre les directives de la CEDEAO est inopportune, à la limite inconséquente parce que le Mali est un pays frère en sus d'être son premier partenaire commercial au niveau de la sous région.
''Le port autonome de Dakar est en tête de peloton pour la desserte Malienne et représente un peu plus de 61% des marchandises pour tout le Mali. Sans compter les centaines de camions qui empruntent chaque jour le corridor Dakar - Bamako long de plus de 1300 kilomètres pour alimenter le pays en produits pétroliers et autres marchandises comme le ciment, le fer etc..'', peut-on lire dans la déclaration.
Le CUSTRS a aussi demande au Macki SALL de ne suivre la décision de sanctionner le mali, pour des raisons que le peuple sénégalais condamne.
''Nous exigeons la réouverture des frontières pour toutes sortes de marchandises dans le plus bref délai. Le CUSTRS manifeste un grand soutien au peuple malien plus précisément les acteurs routiers'', note la déclaration.
Dans un communiqué parvenu à Pressafrik, le CUSTRS considère que la décision du Sénégal, État souverain et indépendant, de suivre à la lettre les directives de la CEDEAO est inopportune, à la limite inconséquente parce que le Mali est un pays frère en sus d'être son premier partenaire commercial au niveau de la sous région.
''Le port autonome de Dakar est en tête de peloton pour la desserte Malienne et représente un peu plus de 61% des marchandises pour tout le Mali. Sans compter les centaines de camions qui empruntent chaque jour le corridor Dakar - Bamako long de plus de 1300 kilomètres pour alimenter le pays en produits pétroliers et autres marchandises comme le ciment, le fer etc..'', peut-on lire dans la déclaration.
Le CUSTRS a aussi demande au Macki SALL de ne suivre la décision de sanctionner le mali, pour des raisons que le peuple sénégalais condamne.
''Nous exigeons la réouverture des frontières pour toutes sortes de marchandises dans le plus bref délai. Le CUSTRS manifeste un grand soutien au peuple malien plus précisément les acteurs routiers'', note la déclaration.