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C’est en début de soirée du vendredi, entre dix huit heures et dix neuf heures, qu’un véhicule de militaires de type 4 X 4 est tombé dans une embuscade tendue par des hommes armés supposés appartenir au Mouvement des Forces Démocratiques de Casamance (MFDC) armés de RPG 7. L’attaque s’est produite entre le village de Saré Koundiang et Saré Dembany dans la communauté rurale de Niagha non loin de la frontière avec le Guinée Bissau.
Le bilan encore provisoire fait état de six militaires tués, quatre grièvement blessés et d’autres portés disparus. Parmi ces blessés le chauffeur du véhicule qui a réussi à regagner le village de Saré Saré Bouya où il a recu les premiers soins. Acheminé à l’hôpital régional de Kolda ans un état comateux, il finira par rendre l’âme. Ce qui porte le nombre de mort du côté de l’armée à sept.
Ce véhicule dont on ignore encore le nombre de personnes à bords avait quitté le poste militaire de Saré Yoba sur la route nationale numéro 06 pour Saré Koundiang, une autre position de l’armée. Et ce n’est que sur le chemin du retour, fait on savoir, qu’ils ont essuyé des tirs peu avant le village de Saré Dembany sur une piste boueuse et très dégradée.
Le renfort de l’armé qui s’est transporté sur les lieux a réussi à récupérer le corps des six soldats tombés et le véhicule ainsi pris pour cible. Il faut dire que cette zone de l’extrême sud est de la région de Sédhiou est en proie à une violence ascendante et de plus en plus meurtrière depuis le 04 septembre dernier date à laquelle la position militaire de Saré Koindiang a été pilonné. Une quinzaine de jours plus tard, c’est le poste de Bantagnèle qui sera visité toujours par ces hommes en armes.
Certaines indiscrétions déclarent que des armes auraient même été emportées ce jour là.
Il s’en est suivi un vaste mouvement des populations vers d’autres cieux jugés plus cléments. C’est ainsi que les villages de Saré Koundiang, Saré Dembany, Saré saré Bouya, Santandiang Yoba, Saré Mamady Mané pour ne citer que ceux là s’étaient vidés de leurs habitants à plus de 70%. Et comme toute condition à un éventuel retour au bercail, ces populations exigeaient l’ouverture des postes militaires dans la zone.
Telle une lecture dans les astres, leurs craintes se sont révélées fondées à en juger par cette dernière attaque sanglante. A relever que toutes ces attaques contre les positions militaires se passent des jours de vendredi. Pour l’heure, la question de savoir pourquoi les postes militaires sont devenus subitement la cible des hommes armés, rien de clair ne permet d’en savoir les motivations et tout l’enjeu qui s’y prête.
Le bilan encore provisoire fait état de six militaires tués, quatre grièvement blessés et d’autres portés disparus. Parmi ces blessés le chauffeur du véhicule qui a réussi à regagner le village de Saré Saré Bouya où il a recu les premiers soins. Acheminé à l’hôpital régional de Kolda ans un état comateux, il finira par rendre l’âme. Ce qui porte le nombre de mort du côté de l’armée à sept.
Ce véhicule dont on ignore encore le nombre de personnes à bords avait quitté le poste militaire de Saré Yoba sur la route nationale numéro 06 pour Saré Koundiang, une autre position de l’armée. Et ce n’est que sur le chemin du retour, fait on savoir, qu’ils ont essuyé des tirs peu avant le village de Saré Dembany sur une piste boueuse et très dégradée.
Le renfort de l’armé qui s’est transporté sur les lieux a réussi à récupérer le corps des six soldats tombés et le véhicule ainsi pris pour cible. Il faut dire que cette zone de l’extrême sud est de la région de Sédhiou est en proie à une violence ascendante et de plus en plus meurtrière depuis le 04 septembre dernier date à laquelle la position militaire de Saré Koindiang a été pilonné. Une quinzaine de jours plus tard, c’est le poste de Bantagnèle qui sera visité toujours par ces hommes en armes.
Certaines indiscrétions déclarent que des armes auraient même été emportées ce jour là.
Il s’en est suivi un vaste mouvement des populations vers d’autres cieux jugés plus cléments. C’est ainsi que les villages de Saré Koundiang, Saré Dembany, Saré saré Bouya, Santandiang Yoba, Saré Mamady Mané pour ne citer que ceux là s’étaient vidés de leurs habitants à plus de 70%. Et comme toute condition à un éventuel retour au bercail, ces populations exigeaient l’ouverture des postes militaires dans la zone.
Telle une lecture dans les astres, leurs craintes se sont révélées fondées à en juger par cette dernière attaque sanglante. A relever que toutes ces attaques contre les positions militaires se passent des jours de vendredi. Pour l’heure, la question de savoir pourquoi les postes militaires sont devenus subitement la cible des hommes armés, rien de clair ne permet d’en savoir les motivations et tout l’enjeu qui s’y prête.
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