Le président appelle les Français à discuter de tous les sujets concrets qui pourraient améliorer leur quotidien. Il n'y a aucun interdit, précise encore le chef de l'Etat qui pose lui-même une trentaine de questions tournant autour de thématiques très variées : les impôts, l'immigration, la laïcité, la démocratie participative avec notamment le recours au référendum ou bien encore l'écologie.
Autant de sujets au coeur de la crise des « gilets jaunes ». En revanche, pas question de revenir sur la suppression de l'ISF ou la hausse de la CSG. Le président rappelle qu'il a été élu sur un projet auquel il entend bien demeurer « fidèle ». Il trace donc quelques lignes rouges et fait preuve de fermeté.
Si le chef de l'Etat s'engage à écouter les Français et promet de tirer les conclusions de ce débat dans le mois suivant sa fin, il souligne que cette consultation « n'est ni une élection, ni un référendum ».
Autant de sujets au coeur de la crise des « gilets jaunes ». En revanche, pas question de revenir sur la suppression de l'ISF ou la hausse de la CSG. Le président rappelle qu'il a été élu sur un projet auquel il entend bien demeurer « fidèle ». Il trace donc quelques lignes rouges et fait preuve de fermeté.
Si le chef de l'Etat s'engage à écouter les Français et promet de tirer les conclusions de ce débat dans le mois suivant sa fin, il souligne que cette consultation « n'est ni une élection, ni un référendum ».
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